Je me présente, je suis la pute de Maîtresse Celia depuis deux ans. Je suis une grosse salope qui aime s’habiller en pute pour sa Maîtresse. Maîtresse me fait porter des strings, des bas, des portes-jarretelles, des soutiens-gorge et des escarpins à talon haut. Le tout est de couleur rouge. Cette couleur a été choisie par Maîtresse Célia pour sa pute. C’est plus vulgaire, plus vendeur pour aguicher le client.

Maîtresse me dresse très sévèrement car je suis une rebelle, je râle, je discute ses ordres. Maîtresse Célia me remet vite dans le droit chemin, elle me connaît bien. Elle m’humilie verbalement pour me montrer mon état de pute qui doit être bien soumise et obéir à ses ordres quelque soit le jour ou l’heure. Elle me convoque pour me punir à coup de fessée, de paddle, de cravache ou de martinet pour me montrer mon rang inférieur. Je perds toujours même si je me rebelle encore un peu. Elle m’enfonce petit à petit dans ce rôle de pute bien soumise et obéissante.

J’avoue que j’adore lorsqu’elle me traîne dans la boue, me traite de merde, de salope bonne à sucer et se faire mettre. Plus elle me rabaisse, plus elle m’insulte, plus je suis humiliée, plus ses ordres sont sévères et durs, plus je me sens salope, plus je suis excitée, plus j’ai envie de m’offrir à Maîtresse et ses copines pour abuser de moi, pour me souiller, me faire défoncer, me faire insulter, cracher dessus, pisser dessus.

Parfois je fais la boniche chez elle. Elle commande chez un traiteur japonais et je passe chercher et payer sa commande. Je dois ensuite la servir. Maîtresse est bien installée dans son canapé. Moi habillée en salope à poil sous mon tablier, je mets en place le repas, je réchauffe sa soupe, je la sers en restant à ses pieds. Une gamelle se trouve devant moi, elle jette dans cet auge grossières les morceaux qu’elle apprécie le moins. Comme une chienne bien éduquée, j’attends qu’elle claque des doigts pour pouvoir attraper un morceau sans les mains, sachant que Maîtresse a pris la précaution de me les attacher dans le dos. Évidemment j’ai mon collier de chienne et une laisse qu’elle me met dès mon arrivée en signe de soumission.

Elle apprécie se faire masser les pieds le temps désiré, ou encore que je lui serve le café dont elle raffole. Ultime récompense, lui lécher avec application son intimité quand elle m’y invite, pour son plaisir.

Elle adore m’enculer. Souvent vers la fin de la séance elle m’attache les pieds et les mains aux pieds d’une grosse table de fer avec des cordes pour bien m’étirer et m’écarteler, pour que je sois bien offerte. Elle retire le gros plug qui a bien dilaté ma chatte.Quand je porte un string elle ne prend pas soin de le retirer. Elle écarte juste la ficelle pour me prendre. A grands coups de rein elle me pénètre, me défonce en tirant sur ma laisse reliée à un mors. Je rejette ma tête en arrière comme une pouliche tout en sentant le va et vient de son gode ceinture bien profond en moi. Je dois lui crier que j’aime ça, que je suis une grosse salope, une chatte à bites, une traînée. J’avoue tout ce qu’elle veut, j’adore ces moments là.

Pour terminer, quant elle a prit son plaisir, elle me masturbe de sa main gantée au travers de mon string et m’oblige à jouir dans ma culotte de chienne. Il est arrivé qu’elle m’oblige à repartir avec ma culotte remplie de foutre, avec consigne formelle de la garder jusqu’au soir.
 
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J’ai des périodes de suivi ou je dois surveiller 24/7 mes sms, répondre dans la seconde, sinon je suis punie, suivre ses ordres, m’enfermer dans les toilettes du bureau, faire un FaceTime pour qu’elle puisse s’assurer du port de ma cage de chasteté et vérifier le scellé, savoir si je suis toujours bien pluguée et que je porte bien ma lingerie de pute. Je dois aussi mettre mes chaussures de pute aux toilettes. Après m’avoir bien inspectée, humiliée, rabaissée, je dois rester enfermée aux toilettes et attendre son bon vouloir pour pouvoir en sortir, parfois vingt minutes plus tard.
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Elle me fait porter une cage de chasteté en métal avec un scellé en plastique qu’elle vérifie quotidiennement par FaceTime. Cela dure pendant des jours sinon des semaines d’abstinence. La tension et l’excitation montent de plus en plus en attendant la convocation salvatrice.
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Elle me fait habiller en pute sous mon costume au travail. Je suis aussi la plupart du temps pluguée, jour et nuit, pendant des périodes plus ou moins longues. Cela lui permet d’avoir une pute bien offerte pour ses besoins. Souvent lors des convocations, elle m’enfile un gros plug que je dois garder souvent toute la séance.
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Je dois m’épiler intégralement pour être plus femelle. Une pute épilée dans des dessous intimes rouges, pluguée, en cage et perchée sur douze centimètres de talons, ça commence à ressembler un peu à une gagneuse pour Maîtresse.
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Elle surveille mon alimentation, tout de ce j’ingère est sous son contrôle. Elle restreint mes cafés, mes cigarettes et mes repas. Je lui envoie photos et détail de ce que je mange, elle décide. Elle trouve que je ressemble à une vache trop grasse, que je dois perdre des kilos. « Une grosse vache c’est pas vendeur » dit elle.
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Elle m’a convoqué avec quelques une de ses copines Dominas. C’était un samedi, dans un beau donjon. J’ai dû m’habiller en pute et avoir une épilation très soignée et bien entendu porter mon plug Rosebud à gros cabochon bling bling qu’elle me contraint à porter la plupart du temps. Maîtresse m’a obligé à être parfaite, pour faire honneur à ses amies dominatrices qui la recevaient. Les Maîtresses avaient convoqué d’autres soumis car elles avaient besoin de cobayes pour s’essayer à la médecine. Elles se sont entraînées à me piquer selon les conseils avisés d’une des leurs, une infirmière formatrice de son état. Les gestes étaient sûrs et précis, l’hygiène et l’asepsie respectée à la lettre. Mon clito a ensuite reçu une sonde urinaire. Pendant que mon urine coulait dans une poche, Maîtresse m’a attachée à genoux dans un pilori, me coinçant la tête et les bras. Maîtresse s’est amusée à me dresser à la cravache, en me glissant à l’oreille que j’étais sa pute, qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de moi.
 
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Voilà le résumé succinct de ma vie de pute auprès d’une Maîtresse très sévère, très exigeante, ne laissant rien passer à sa pute pour bien la soumettre. Mais le tableau ne serait pas complet si je ne disais pas que Maîtresse Celia est aussi prévenante et attentive. C’est une Maîtresse qui prend soin de sa pute. Elle est très  douée pour le dressage d’une pute rebelle.
 
Rebella