Lors de notre première rencontre, au regard de ma croupe assez féminine, Maîtresse Célia m’avait suggéré l’idée d’une prochaine séance en présence de son assistant « TTBM » (très très bien monté). Cette idée fit son chemin et après quelque temps d’hésitation, je me décidais à solliciter Maîtresse Célia pour une seconde séance, cette fois avec lui.

Le jour du rendez-vous, c’est avec une certaine appréhension que je pénétrais dans l’appartement où je fus accueilli par l’assistant de Maîtresse, légèrement vêtu et qui m’invita très aimablement à me déshabiller. J’entrais alors dans la pièce dédiée à la séance. Il me fit agenouiller, les mains posées sur la nuque. J’entendis derrière moi le bruit des talons aiguilles de Maîtresse qui s’approchait. Je l’imaginais en jupe et décolleté envoutant, regard dominateur. Elle fit courir ses mains sur mon dos et mon torse, appréciant au passage le duo de couleurs gris et fuchsia de mon slip, qu’elle commença néanmoins à faire glisser négligemment. Elle ne termina pas son geste et m’intima l’ordre de l’ôter complètement.

Elle demanda à son assistant d’aller chercher des produits de maquillage avec lesquels elle commença à me farder délicatement pour me donner l’apparence de Léa. L’étape suivante consista à choisir les pièces de lingerie qui achèveraient ma transformation. Maîtresse opta pour un ensemble rouge, petite culotte, soutien-gorge, porte jarretelles et bas résilles. Elle compléta ma féminisation par une cagoule et un masque qu’elle surmonta d’une perruque. Ils échangèrent des propos de satisfaction, badinant, sentant le moment proche où ils pourraient commencer à disposer à leur guise de leur femelle soumise. Cet instant arriva car maitresse m’ordonna de m’asseoir à genoux :

  • Honore mon assistant maintenant et caresse le, chienne !

Il s’était placé debout devant moi toujours en boxer. Je m’exécutais et commençais à caresser son membre par-dessus le tissu. Au bout de quelques minutes, constatant un raidissement de son sexe, maitresse me fit enlever son boxer.

  • Montre-nous comment tu suces et applique toi, sinon les punitions seront à la hauteur

Ma première fellation pouvait commencer. Je m’appliquais autant que je pouvais, amorçant des mouvements de va et vient que l’assistant accentuait en appuyant sur ma tête, semblant de plus en plus apprécier cette caresse buccale.

  • Elle suce bien ta petite Léa, une vraie soumise, ajouta-t-il en direction de Maîtresse qui entreprit, pour me donner plus d’ardeur, de m’administrer une cuisante fessée main nue.
  • Continue, donne lui plaisir, petite salope, suce le bien, m’ordonna-t-elle, il te prendra ensuite si tu le satisfais

Après un temps, elle reprit :

  • Je vais m’occuper de notre petite pute pendant qu’elle a la bouche bien pleine

Malgré mes pensées toutes tournées vers la fellation que je continuais à pratiquer avec de plus en plus d’assurance et de plaisir, je compris le sens des dernières paroles de Maîtresse et sentis bientôt ses doigts s’insinuer dans ma rondelle avant qu’elle y glisse son gode et commence sa pénétration qui ne tarda pas à me faire pousser des gémissements. Sans doute sous l’effet du port de la cagoule et du bandeau ainsi que de la perte de repères que ces deux accessoires provoquaient, je ne me rendis presque pas compte qu’ils avaient changé de position et que l’assistant me pénétrait à son tour, Maîtresse me fourrant un gode sensiblement de la taille du membre de son assistant dans la bouche. Je fus presque étourdi par cette double pénétration, les va-et-vient de l’assistant et la fellation du gode de maitresse. Je demandais alors un répit que Maîtresse m’accorda en me faisant allonger sur le dos, les jambes suspendues et les chevilles écartées par une barre métallique fixée en hauteur.

C’est alors que maitresse s’agenouilla sur moi, me forçant à lécher son sexe et m’autorisant à me masturber d’une de mes mains libres. J’en oubliais la présence de l’assistant alors que ma position on ne peut plus offerte pouvait me laisser craindre une nouvelle pénétration de sa part. Ma tentative de lui échapper fut vaine, sans doute trop étourdi par la perte sensorielle, je sentis une montée de chaleur enivré des saveurs du sexe de maitresse.               

Je fus enfin détaché, encore étourdi par ces derniers instants sous la coupe de ce duo de dominateurs et émoustillé par cette séance.

Léa