Je suis à l’heure pour mon tout premier rendez-vous, ouf ! Maîtresse Célia m’attends à la porte, une cravache à la main. Elle me dit immédiatement de « me mettre à l’aise » ce qui signifie me déshabiller entièrement. Après m’avoir observé en détail, elle m’attrape par les bourses et me tire jusque dans le salon pour un interrogatoire en règle.

Ayant pris quelques notes elle m’expédie dans la salle de bain pour une douche rapide. Je sors de la douche et commence à m’essuyer au moment où Maîtresse Célia surgit dans la salle de bain. me trouvant sans doute trop mou, elle me prend la serviette et me frotte le dos énergiquement. Une fois terminé elle me tend la serviette et m’ordonne de continuer en me séchant les jambes. Elle profite que je sois baissé pour me saisir par la nuque comme un jeune chiot et me pétrir les épaules et le haut du corps sans ménagement. Elle me demande de verbaliser un peu mes désirs, j’évoque la privation sensorielle et les massages.

De retour dans le salon, à quatre pattes, Maîtresse Célia m’enfile une cagoule et me couvre les yeux avec un masque. Pour compléter le tout elle me mets un bâillon, un collier de cuir et une laisse. Me voici dans le noir total, nu et debout, respirant difficilement. Elle m’ordonne de ne pas bouger. J’attends sagement. Cette pause pourtant courte me semble interminable. Subitement Maîtresse Célia me saisit les deux bras et m’attache les poignets dans le dos avec une longue corde de chanvre puis elle ligote mes bras autour de mon torse. Me voici immobilisé pour de bon. Elle me fait agenouiller sur un coussin, la tête sur le canapé. Commence alors le massage version Maîtresse Célia. Une fessée vigoureuse s’abat sur mon postérieur et mes jambes, sans oublier l’intérieur de mes cuisses. Viennent ensuite quelques coups de paddle appliqués sévèrement et pour finir le martinet avec différentes intensités. Quelques caresses viennent interrompre de temps à autre la pluie incessante des coups. Maîtresse Célia n’oublie pas le pincement des tétons, je serre les dents. Vient une pause durant laquelle j’entends Maîtresse préparer la suite. Elle se positionne derrière moi et m’introduit un plug par petits à-coups. Pour le maintenir en place elle fait passer une corde dans l’entre-jambe, je crois bien que je bande à ce moment. Le « massage » n’étant pas terminé Maîtresse entreprend de me pétrir et pincer vigoureusement l’ensemble du corps avec ses mains quelquefois aidées de ses ongles griffus. Le plus diabolique étant sans doute le pincement de l’intérieur des cuisses (je déguste) et les étirements de mes testicules sur lesquelles elle a placé un accessoire que je ne saurais décrire, privé que je suis de la moitié de mes sens, ceux restant étant affolés par les différents traitement infligés.

Maîtresse décide alors de me retirer le mors (je respire mieux) et de me détacher les bras et les poignets. Appuyant son pied dans mon dos elle me fait une élongation des bras en arrière. Elle me passe ensuite autour des poignets des menottes en cuir et me demande de m’allonger sur le dos dans le canapé.

Des pinces sont accrochées à mes tétons, puis elle me piétine le corps et le sexe de ses pieds nus… Ouf ! ça aurait pu être pire. Mais vient ensuite la fustigation de la verge avec une petite baguette ce qui provoque mon érection. Voyant cela Maîtresse s’allonge de tout son long sur moi et simule un rapport génital en me posant la question « A quoi pensez-vous ? » Je réponds « La mettre ». Elle me rétorque illico d’un ton moqueur « Tu sais bien que ce n’est pas possible voyons ». Elle se relève et me fouette de nouveau en riant avec sa petite baguette sur les jambes et le sexe puis elle m’ordonne de me branler. J’attends avec anxiété le stop (orgasme ruiné) mais elle ne me stoppe pas et j’éjacule sur mon corps.