Maîtresse Célia avait accepté de me recevoir chez elle. Être à l’heure est la première marque d’obéissance à laquelle je ne déroge pas!
Elle m’accueille en bustier de cuir rouge, très hauts talons et bas résille, un regard perçant et un sourire envoûtant à la clef!
Après m’avoir interrogé, elle m’affuble du prénom de Pimpy, cela l’amuse beaucoup, allez savoir pourquoi… Je serai donc sa Pimpy. « En tenue la plus simple et vite! » ordonne-t’elle aussitôt. Je m’exécute.
Elle me passe un collier autour du cou et un autre qui enserre mon sexe! Me voilà tenu en laisse de deux façons et les mains attachées dans le dos. Maîtresse Célia fait le tour de sa proie consentante, affichant un sourire aussi éclatant que sarcastique. Elle m’affuble d’un corset noir qu’elle serre à me couper le souffle.
A quatre pattes, je comprends que mon arrière train s’offre honteusement, la première fessée s’abat très vite. Je sens mes fesses rougir et la chaleur m’envahir à cet endroit. J’avais indiqué que je suis très sensible des seins. Elle n’a pas oublié mais quelle douce torture entre ses doigts experts.
Mes mains sur le canapé, toujours à genoux, je sens s’introduire inexorablement un plug de métal glacé, de taille modeste fort heureusement, (merci Maîtresse!). De ce plug partent des fils électriques. Elle ajoute des straps électriques sur mon sexe. Je commence à comprendre ses intentions à mon égard.
“Assieds toi sur ce fauteuil en gardant bien le god en toi!”. Elle m’indique un fauteuil tournant tendu de vinyle noir sur lequel elle m’attache et me fait tourner de façon à m’envelopper totalement de cellophane. L’épisode de sa fameuse « chaise électrique » peut alors commencer.
La suite n’appartient qu’à Maîtresse Célia, mais sachez seulement que pour finir, j’ai joui très fort sur ses doigts et qu’elle a bien voulu me les faire lécher.
Au-delà du jeux, Maîtresse Célia a instauré un véritable dialogue des sens, rare et envoûtant.
Pimpy