J’apportais son déjeuner à Maîtresse Célia à 13h comme demandé.
Rapidement je me retrouvais nu à ses pieds où elle m’interrogea tout en déjeunant.
Elle m’avait pour cela confié un livre de domination féminine. Après avoir choisi une illustration, je dû lui expliquer les raisons de mon choix puis lire à voix haute le chapitre en question, avant de recommencer avec une autre image.
Situation très déstabilisante de devoir confier ses fantasmes tout en sachant que Maîtresse saurait en faire bon usage pour mieux me manipuler.

Pendant qu’elle prenait son café elle m’envoya nettoyer la salle de bains. Elle m’octroya 15 minutes. Cela paraissait a priori un délai confortable mais elle rajouta une contrainte en me demandant de nettoyer en sus un grand drap de latex.
Je me mis sérieusement à stresser quand empêtré dans les différents replis du drap je voyais le temps défiler sans que j’aie eu le temps de réellement commencer le ménage.
Maîtresse m’annonça 5 minutes restantes. J’en étais à nettoyer le lavabo et redoublais d’effort pour qu’aucune trace ne subsiste sur le robinet.
Entendant Maîtresse arriver je me mis immédiatement en position : à genoux, mains sur la tête attendant son verdict. Elle releva quelques traces de calcaires résiduelles et je dus reprendre le ménage avant de la retrouver dans le salon.

Comme si cela était une évidence elle positionna les pinces à seins avant de m’entraver les mains dans le dos. Je la sentis ensuite s’activer derrière moi sans savoir ce qui m’attendait.
Elle m’introduisit des bouchons dans les oreilles avant de m’enfiler une cagoule en tissu. Je restais relativement confiant, j’arrivais à percevoir les formes et ma respiration était aisée.
Malheureusement ce n’était qu’une première étape. Maîtresse m’enfila une seconde cagoule que je devinais en cuir. Beaucoup plus serrée, celle-ci était très contraignante d’autant plus qu’elle s’assura d’un serrage maximum. Quand elle rajouta un masque, je me trouvais dans le noir total. Les sons d’autant plus étouffés par les bouchons, je pénétrais dans un autre monde où je n’étais plus qu’un pantin totalement dépendant de Maîtresse Célia. Pour parfaire son œuvre celle-ci m’inséra une sorte de mors métallique entre les dents avant de m’allonger à plat ventre sur le canapé.

Plongé dans le noir, ma respiration rendue difficile par la cagoule et le mors métallique, je me concentrais pour ne pas céder à la panique. Me reliant les poignets aux chevilles, Maîtresse m’intima l’ordre de ne pas bouger pendant qu’elle travaillait.
Je n’avais plus de notion du temps et restais allongé à baver tout en restant concentré sur ma respiration.

Je n’entendais que ponctuellement les talons de Maîtresse claquer sur le parquet.

Enfin je la sentis caresser mes fesses avant de m’introduire sans ménagement un plug dans l’anus. Par la suite elle revint plusieurs fois m’exciter brièvement, passant ses mains sur mon scrotum ou l’intérieur de mes cuisses, effleurant mon sexe. La sensation par sa brièveté était plus frustrante qu’agréable.
Elle se décida à retirer mon mors. Mon soulagement fut de courte durée car elle entreprit aussitôt de tester la sensibilité des différentes parties de mon corps avec une série d’instruments. Il me sembla ressentir la canne, puis une cravache avant qu’elle finisse par me fesser vigoureusement à la main.

Tout à son objectif de parfaire mon éducation de sissy elle modifia ma position. Me relevant les fesses elle me mit à genoux puis m’entrava de nouveaux les poignets aux chevilles, mais cette fois-ci passant mes bras par le devant du corps entre mes jambes je me retrouvais complètement offert.
Elle retira le plug. Mon anxiété s’accrut tandis que le lubrifiant coulait sur mon anus. Je sentis Maîtresse se positionner derrière moi, coller l’extrémité d’un gode contre mon anus et pousser doucement mais sans interruption.
La taille était nettement plus conséquente que le plug précédent. Je me mis à gémir sans pouvoir me contrôler. Maîtresse commença à aller et venir, me distendant et pénétrant à chaque coup un peu plus en moi.
Une fois qu’elle m’eut complètement prise, elle s’allongea sur moi et me murmura : « Tu ne baiseras plus de femmes. Jamais ! Et du demanderas systématiquement la permission pour pouvoir te masturber ».
Je gémis un « oui Maîtresse » désespéré sachant que l’avant-veille elle m’avait refusé sa permission alors que je formulais ma première demande après 3 semaines d’abstinence.

Sans doute satisfaite de ma réponse Maîtresse m’ordonna alors de me masturber tandis qu’elle s’assurait que le gode reste profondément en moi. Je jouis puissamment en gémissant comme une traînée. Dans sa grande mansuétude Maîtresse me laissa prendre un minimum de plaisir avant de m’ordonner de lâcher mon sexe : ruinant la fin de mon orgasme. J’ai sans doute eu le tort de lui avouer par le passé ma détestation des orgasmes ruinés…

Merci Maîtresse