Le lion devient chatte
par L.
Il est midi quand je me décide à traverser Paris pour rejoindre Maîtresse. La boule au ventre et les idées dans la brume. 12h50 je suis à destination et je téléphone, tremblant… Pas de réponse, je comprends que le jeu a déjà commencé, j’attends… Un coup de téléphone plus tard me voilà devant la porte. Maîtresse ouvre.
Je suis entré tremblant pensant être un fauve prêt à se faire dresser. Maîtresse Célia est magnifique, tellement supérieure. Elle sait me mettre à l’aise, en laisse, et immédiatement la langue sur ses bottes. « Oui Maîtresse ! » De fauve je me retrouve à la niche…
Ainsi commence le dressage, je remue la queue quand Elle me le demande, avant de finir encagé, et mis au Humbler. Cet instrument est une merveille, je retrouve enfin ma place. Au bout d’une laisse à suivre Maîtresse, à ses pieds. La meilleure place. Ma place.
Elle me fait me mettre à quatre pattes me promène dans son donjon et me susurre à l’oreille « Le chien ne serait-il pas une petite chienne ?
– Oh oui Maîtresse. »
Alors commence le lâcher-prise, ce moment où le temps s’arrête. Je suis offert et Elle ne se gêne pas pour me rappeler ma condition. Commence le travail anal. Je ne sais pas trop ce qui y passe mais la suite me montrera qu’on peut en prendre plus qu’on ne l’imagine.
Un objet plus frais fait son office. Rattaché à ma laisse je comprends que je suis maintenant croché. Les couilles dans un Humbler, un crochet relié à mon cou, si je vais trop en avant je suis vite rappelé à l’ordre, en arrière je suis pénétré… Et Maîtresse s’en va…
On se dit que l’on est pas grand-chose et se voir de l’extérieur les couilles tirées, sodomisé et offert, non, offerte. Qu’est-ce qui nous passe par la tête? En vérité j’attends juste d’être prise. Revenez Maîtresse !
Je la sens revenir, je l’entends se préparer et je me retrouve son gode ceinture dans la bouche, quelle taille ! On est jamais aussi bien que lorsque Maîtresse donne le rythme, enfoncée en moi. Moment choisi par Maîtresse pour me fixer ses pinces à tétons…
Puis le tourment prend fin, on me libère, mais on m’ordonne « Branle-toi !
– Oui Maîtresse !
– Et les petites chiennes ça avale tout ! »
Dans ces moments là on vient vite et on s’exécute. Merci Maîtresse.
Je suis arrivé pensant être un lion, j’en ressors petite chatte. Je reviendrai Maîtresse car comme vous me l’avez dit, avec vous je vais progresser. Merci.
L.