Le quatre-heures nursing ABDL de Julie
Julie raconte comment elle décide d’assouvir son penchant ABDL (Adult Baby Diaper Lover), vous savez, ce goût régressif pour le port de couches et un traitement de bébé.
Ayant quelques jours solitaires devant moi, je décidais d’assouvir mon penchant ABDL, vous savez, ce goût régressif pour le port de couches et un traitement de bébé.
Je contactais donc Maîtresse Célia et pris rendez-vous pour seize heures trente-deux jours plus tard.
La veille Célia me rappela par SMS de garder ma couche toute la nuit sans la changer. C’était une petite mise en bouche.
Je fus réveillé à cinq heures par une forte envie d’uriner, ce que je fis sans bouger. Une chaude moiteur m’envahit. Je terminais ainsi ma nuit.
J’achetais quelques sushis pour déjeuner léger et prévenais Maîtresse Célia toujours par SMS que je commençais à me préparer pour notre rendez-vous, impatient et délicieusement angoissé en même temps. Elle répondit qu’elle m’attendait pour le goûter.
Après une toilette complète et très intime, je décidais de me présenter en portant des bas et un plug anal. J’avais de vieux bas noirs troués et effilés qui faisaient un peu vulgaire et un plug Rosebud rarement porté. Je me lubrifiais bien l’anus pour l’introduire doucement.
Puis je mis ma couche et une culotte en plastique pour éviter trop de fuites.
J’avais déjà bu un litre d’eau depuis mon repas léger. Je pris ma voiture jusqu’à la gare de Lyon pour prendre le métro qui me conduirait à la porte de Maîtresse Célia. Je retenais pour l’instant mon envie d’uriner tout en continuant de boire. Mais une fois dans le métro quel plaisir de me vider petit à petit dans ma couche au milieu des autres voyageurs !
J’arrivais fébrile devant sa porte qui s’ouvrit enfin. Je découvris dans la pénombre une femme magnifique aux lignes élancées. D’une voix douce et ferme elle m’invitât à poser ma veste et à lui présenter ce que j’avais apporté, change, couches… ; puis m’observa, me posa des bracelets aux poignets et aux chevilles et me demanda d’enlever mon pull et mon pantalon.
A la découverte de mes bas, elle remarqua que je n’étais pas un petit garçon mais une petite fille que sa maman lui avait confié pour son quatre-heures.
Tâtant ma couche, elle me fit allonger pieds aux murs, enleva ma couche bien lourde, examina mon anus et remplaça prestement mon plug par la canule de lavement.
En douceur, sans douleur, elle fit passer la quantité de liquide qui lui semblait nécessaire, me remit une couche et me fit asseoir sur une chaise à haut dossier, les bras menottés dans le dos. Elle m’abandonna sur ma chaise et parti préparer mon repas.
Une bouillie d’épinards pour commencer que je recrachais en partie, en bavant et qu’elle me barbouilla avec soin sur la figure. Puis un biberon d’un breuvage laitier fade qu’elle me poussait à téter en me pinçant les seins.
Je ne pus retenir plus longtemps mes sphincters. Mes intestins se vidèrent sous moi dans ma couche dans un sentiment honteux mais agréable.
Elle m’entraîna ensuite dans une chambre et m’attacha dans un sling, mes fesses en évidence, bâillonné et les yeux masqués. J’entendais avec anxiété les préparatifs ; à quelle sauce la petite fille que j’étais allait-elle être assaisonnée ?
Elle entreprit de torturer mes seins par la pose de ventouses, ajoutant quelques claques de la main sur l’intérieur des cuisses.
Puis ce qui devait arriver arriva et je la sentis s’introduire en moi, un peu douloureusement au début. Je devais me relâcher, me décontracter et ce fut de plus en plus agréable, me surprenant à faire moi-même quelques mouvements de va-et-vient pour amplifier la pénétration. Entre les pressions sur la vessie bien pleine et la prostate, je ressentais un bien-être interne.
Il fallait passer au bain avant de la quitter. Je dus m’asseoir dans la douche sur un plug ventouse de bon diamètre.
Je n’aurais jamais imaginé faire cela mais ce fut finalement facile et plaisant. Je me surpris là encore à quelques va-et-vient. Masqué, je sentis sa cuisse contre ma joue puis son entre-jambe contre mon front, mon nez et de ma langue je recherchais son sexe qui vint s’écraser sur ma bouche. Je le léchais goulûment quelques instants, rejoignant le bulbe du clitoris, et sentit couler son urine sur ma bouche et le bas du visage et réchauffer mon corps. Je me mis à uriner à mon tour dans la douche. Ce n’est pas une éjaculation mais ça en vaut beaucoup.
Maîtresse Célia me remit une couche propre, et je repartis soulagé et détendu, urinant une dernière fois dans le métro devant des passagers étonnés de mon visage hilare à cette heure de pointe.
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Il y a dans le monde du Bdsm un champ des possibles si immense, et je suis toujours impressionné par le talent des Maîtresses à inventer les conditions pour vivre ce champ des possibles, votre imagination me fait rêver d’un monde heureux
Maitresse est d’une extrême perversité, mais irrésistible. Jouant de sensibilité autant que d’imagination, je voudrais, à mon tour, régresser avec Maîtresse Celia qui deviendra Nurse, et fera progresser ma soumission totale.