Mon front fut entouré de cellophane, ce qui immobilisa ma tête, me forçant à la garder droite sans pouvoir la pivoter ou la pencher. J’étais désormais immobile, attendant mon sort, totalement réduit à l’impuissance.
Une séance BDSM intense
Charles est un amateur raffiné, passionné des séances longues et douloureuses. Laissons le nous relater quelques passages choisis de sa dernière visite…
Être à l’heure, c’est déjà être en retard. Je mets un point d’honneur à être à l’heure en permanence, et d’autant plus lorsque j’ai rendez-vous pour une séance avec Maîtresse Célia. Imaginez donc mon angoisse quand, en chemin, le métro s’arrêta non pas une, ni deux, mais trois fois à cause d’un passager sur la voie. Deux minutes avant l’heure du début du rendez-vous, j’étais à la station porte de Pantin, la rame immobile. Je décidais alors de sortir et de faire le reste du chemin à pied, au pas de course, pour minimiser mon retard, tout en prévenant Maîtresse Célia.
J’arrivais donc chez elle avec un peu moins de 10 minutes de retard sur l’horaire prévu.
L’accueil fut à la hauteur de la température du week-end, glacial. Me faisant entrer sans un seul mot, Maîtresse Célia me tendit un oxymètre dans lequel j’introduisis mon doigt, tandis qu’une grave et sinistre musique sourdait d’une enceinte. Visiblement satisfaite du résultat qui s’affichait, elle m’incita d’un geste à me dévêtir et à prendre une douche, toujours sans desserrer les lèvres. Une fois rafraîchi, alors que je m’apprêtais à sortir de la salle de bain, elle m’intima de rester sur le seuil d’un simple « tsss… », comme on s’adresse à un enfant désobéissant ou à un chien.
Et ce fut bien comme un chien que je fus traité.
Maîtresse Célia vint vers moi une laisse et un collier à la main, collier qui enserra bientôt mon cou. Tirant sur la laisse, elle me fit mettre à quatre pattes, me faisant comprendre en levant un de ses pieds ce qu’elle attendait de moi. J’embrassais ainsi ses chaussures et pieds, tandis que très lentement, un pas après l’autre, elle reculait vers le boudoir. Une fois arrivé dans la pièce, je constatais que sur une estrade trônait une chaise en bois, sur lequel elle me fit rapidement asseoir, non sans m’avoir auparavant doté d’un petit plug électrique.
Mes chevilles furent entravées par une barre d’écartement et reliées à la chaise. Mes poignets, placés chacun à hauteur d’épaules, connurent un sort similaire. Me déniant le droit d’assister à mon futur sort, je fus privé de la vue par un masque, et contraint au silence au moyen d’un bâillon boule solidement fixé, tandis que mon ouïe fut limitée par une paire d’earplugs.
Naïvement, je pensais que ma Maîtresse se contenterait de ces entraves.
Il n’en était rien. Consciente de l’intensité de ce qui m’attendait, Maîtresse Célia se mit à m’encercler la poitrine avec du film cellophane, me transformant en une parodie de momie. Mon front fut aussi entouré de cellophane, ce qui immobilisa ma tête, me forçant à la garder droite sans pouvoir la pivoter ou la pencher. J’étais désormais immobile, attendant mon sort, totalement réduit à l’impuissance.
Et le supplice de l’électricité commença.
Ce fut une alternance de torture diverses. Ma tourmenteuse commença par passer des câbles autour de ma verge. Dès lors, entre deux autres punitions, elle s’amusa à envoyer du courant dans celle-ci, en alternant avec le plug électrique, combinant parfois les deux au gré de ses envies. Si ce supplice restait supportable lorsque le courant était de faible intensité, il l’était bien moins lorsque l’intensité augmentait. À plusieurs reprises, mon corps se tendit sous l’effet de la douleur, mes pieds dressés sur leurs pointes, mes poings serrés pour tenter de supporter l’épreuve.
Mais l’électricité n’était pas la seule arme de ma maîtresse.
À l’aide d’une badine de carbone souple, Maîtresse Célia se mit à cingler l’intérieur de mes cuisses, à quelques centimètres de mon aine. La multiplication des coups, dont je perdis rapidement le compte, me fut rapidement insupportable, et j’extériorisais ma douleur par des hurlements, étouffés en partie par mon bâillon. Mais un esclave obéissant doit souffrir en silence, ce que me fit comprendre Maîtresse Célia toujours muette, en m’administrant quelques retentissantes claques en guise de rappel des règles de la bienséance, tout en plaquant sa main fermement sur ma bouche, m’étouffant quelque peu afin de me calmer. Les coups de canne restèrent visibles quelques jours sur mes cuisses, comme un délicieux autant que douloureux souvenir cuisant de cette séance, avant de disparaître tout à fait.
Et à la douleur succéda l’angoisse…
Je connus ensuite les affres de la suffocation et de l’étranglement. La peur ressentie dans ces moments était décuplée par mon incapacité totale à me défendre. Ce supplice était toutefois presque agréable en comparaison de ce qui suivit. En effet, Maîtresse Célia décida de m’enfoncer une aiguille stérile à l’extrémité de la verge. Si celle-ci ne pénétra en définitive que ma peau, la douleur, couplée à l’idée effrayante d’une mutilation de mes parties intimes, embrasa mon imagination et mit mes nerfs à vif.
Je dois confesser que la somme de tous ces traitements, associée à mon incapacité à bouger, suscita en moi un début de panique.
Comprenant que j’essayais de m’exprimer, Maîtresse Célia m’ôta mon bâillon, me permettant de verbaliser ma défaillance. Prudente, elle se mit aussitôt à me délier, non sans avoir ouvert la fenêtre pour me donner un peu d’air.
Après m’avoir proposé un verre d’eau sucré, Maîtresse Célia m’entraîna dans une chambre et me fit allonger sur un lit à baldaquin de fer, me laissant me reposer quelques minutes. Je me morigénais intérieurement de n’avoir pas été plus endurant, mais mon corps agité de spasmes me fit comprendre que je l’avais poussé dans ses retranchements.
Mon repos fut de courte durée.
Maîtresse Célia ayant décidé que quitte à rester allongé, je pouvais aussi bien servir de support à la tasse de café brûlante qu’elle venait de se faire, elle s’appliqua donc à poser celle-ci sur plusieurs parties de mon corps. Bien que douloureux, ce supplice était néanmoins reposant. Je n’étais pas entravé, j’étais simplement allongé.
Désireuse sans doute de faire un peu d’exercice, Maîtresse Célia se mit ensuite à prendre appui sur mon corps, pieds nus dans un premier temps. Constatant que je supportais cela sans broncher, elle décida de pimenter un peu l’activité en chaussant ses talons aiguilles. Je trouvais cela étrangement relaxant, et mes contractions musculaires cessèrent enfin. En guise de récompense, ou pour parachever la sensation d’écrasement, ma Maîtresse décida de s’asseoir sur mon visage, limitant ma possibilité de respirer. Sentant mon oxygène manquer, je me mis à trépigner, elle se releva, non sans me faire remarquer que mourir entre ses cuisses n’était pas la fin la plus atroce qui soit.
Incapable d’être un siège convenable, je méritais dès lors une punition.
Je fus invité à me tourner sur le ventre, pour que ma Maîtresse puisse m’administrer une correction cinglante, me menaçant de m’immobiliser les mains si je ne cessais pas immédiatement de les bouger. Je dû me résoudre à serrer les poings pour tenter de supporter la douleur provoquée par le contact de la tige de carbone sur mes fesses. Les sifflements que faisait la canne en s’abattant, annonciateurs de spasmes de douleurs, ajoutaient à ma terreur. Lassée de la canne, ma tourmenteuse utilisa alors un martinet, dont les lanières tombant sur mes épaules semblaient si lourdes que j’avais la sensation que l’on bourrait mes épaules de coups.
Mais tout supplice connaît une fin.
En guise de récompense, que je ne méritais pourtant pas, je fus autorisé à me remettre sur le dos. Mes jambes furent écartées, telles celles d’une catin, enchaînés aux montants du lits, tandis qu’un de mes poignets se retrouvait menotté. Je fus alors pénétré à l’aide d’un instrument, le mouvement de va et vient stimulant ma prostate. Saisissant mon sexe dressé d’une main vigoureuse, Maîtresse Célia entreprit de me traire, et je terminais cette séance par un orgasme d’une intensité telle qu’il compensa allégrement tous les tourments que j’avais enduré.
Cet article a 2 commentaires
Enfin le retour de Maîtresse Célia revient et ses soumis toujours traité avec la plus belle des sévérités. Quand on lit, on tremble, on angoisse, on souffre et pourtant on applaudie la maîtrise de Maîtresse Célia et le don de son soumis.
J ai eu pas mal de fois bondage cellophane et aiguilles seins , couture du sex, même baillone durement je me faisais invectiver par maîtresse a cause de mes gémissements !
Hâte un jour de revivre cette situation ! Pourquoi pas avec maîtresse Célia?
Je confirme le crochet anal …dur