Breath Control - Celia Domina

Séance de Breath Control par Louis « Maitresse m’enfile une cagoule de latex qui n’a qu’un tout petit trou facile à obstruer »

Louis est un habitué de la respiration contrôlée, ce qui lui permet de prétendre à cette séance de Breath control poussée à la limite du "Edge play"

L’ascenseur monte lentement, très lentement, comme s’il voulait me laisser le temps et la possibilité d’interrompre ce voyage vers la chambre des supplices : cette séance de Breath control avec Maîtresse Célia.

Elle m’a demandé de lui décrire par avance quels supplices je mériterais. En insistant sur le fait que je doive les redouter particulièrement. Nul espoir de tricher en évoquant des supplices qui seraient trop indulgents. Maîtresse Célia connait bien ma résistance et mes limites, qu’elle a bien l’intention de repousser pour me punir.

Arrivé sur le palier, j’ai un moment d’hésitation, mais Maîtresse Célia entrouvre la porte.

Elle est vêtue d’un bustier moulant, d’un élégant pantalon de velours, étoffe dont je suis fétichiste, et d’escarpins aux talons vertigineux. Je suis immédiatement subjugué par son regard, à la fois sévère et amusé de mon air pataud et indécis. Je balbutie quelques explications sur les raisons qui m’ont conduit à ne pas honorer mon dernier engagement.

Maîtresse Célia m’expédie dans la salle de bains. C’est une question d’hygiène, mais surtout, dans mon cas, une étape indispensable. J’ai besoin de ce sas qui me permet de me mettre en condition pour supporter l’épreuve qui m’attend.

Quand je ressors de la salle de bains, j’ai définitivement endossé mon état de soumis. Je suis prêt à subir les supplices dont s’amusera ma Maîtresse.

1 – Breath control & cagoule de « rebreathing »

Elle m’ordonne de m’agenouiller au centre de la pièce. Maîtresse me tourne autour en faisant claquer ses talons. Puis elle commence par me lier les poignets dans le dos avec de solides bracelets de cuir. Ensuite c’est la pose des pinces Japonix sur mes tétons. La douleur est intense, je ne peux réprimer des gémissements. Elle les étouffe en se plaçant derrière moi. Sa main gantée se plaque sur mon visage, obstruant ma respiration.

Breath control: le premier jeu commence. D’une main elle m’étouffe et de l’autre tire de manière saccadée sur la chaine reliant les pinces. Elle s’amuse de mes cris étouffés.

Comme en me débattant je réussis à aspirer un peu d’air, elle m’ordonne de revêtir ma cagoule de latex, qui ne possède qu’un orifice, si facile à obstruer… Cela fait, je subis de longues séries d’étouffements entrecoupés de courtes pauses. Vous pouvez regarder la courte video suivante pour vous faire une idée…

Video: Cagoule Speciale « Breath control Mask »

Le moment durant lesquelles elle manipule de manière sadique la chaine reliant les pinces Japonix. Qui a déjà subit la pose de telles pinces sait que la douleur est très intense au début, puis diminue progressivement. Comme si le corps se faisait à cette écrasement de parties sensibles. En manipulant à nouveau les pinces en tirant sur la chaine, leur étau se resserre. La douleur redevient à nouveau très vive.

Ainsi l’alternance entre les apnées et l’action sur les pinces pendant les pauses est des plus sadique. Le soumis à bout de résistance espère une pause qui lui permettra de respirer une goulée d’air. Mais il redoute aussi cette pause qui sera accompagnée d’un pic de douleur à la limite du supportable. D’ailleurs est il même possible de reprendre sa respiration tout en criant ? Je vacille, me balançant de droite à gauche pour chercher à échapper à sa prise.

2 – Breath control & Momification

Pour la seconde séquence de breath control, Maîtresse Célia pense qu’il est temps pour que je sois allongé, position qui pourrait paraitre plus confortable. Mais ce n’est qu’un leurre comme la suite va le montrer.

En effet il est temps de mener à bien une immobilisation qui me laissera totalement à sa merci. Pour cela elle m’ordonne de me lever, puis saisi un grand rouleau de cellophane. Elle enveloppe mon corps du cou jusqu’au genoux, en me demandant de tourner sur moi même.
Je me sens la proie d’une araignée qui petit à petit m’entoure d’un cocon étanche qui restreint de plus en plus mes mouvements.
Maîtresse Célia m’aide à m’allonger sur le sol en pliant mes genoux. Puis elle m’ordonne de lever les jambes. Elle termine de parfaire cette prison de plastique en entourant mes mollets et mes pieds. De cette manière je suis presque totalement momifié. Elle parfait mon immobilisation en faisant quelques tours autour de ma tête. Ceci brouille ma vue par superposition des couches de cellophane et me fait désespérément suffoquer. Riant de mes vaines tentatives d’aspirer au travers du plastique, elle finit, marque d’indulgence, par dégager deux fentes au niveau des petits trous de ma cagoule. Je peux enfin aspirer de l’air de manière forcenée.

3 – Breath control & Étranglement: des cuisses de fer dans un pantalon de velours

Mais ce répit n’est que de courte durée. Elle chevauche mon visage avec son pantalon de velours, pressant la douce étoffe sur ces deux petits orifices palpitants de manque d’oxygène, pour de longues séries d’apnées de durée croissante. Trente secondes suivies d’une courte pause, puis quarante secondes, une minute, une minute trente.

Maitresse Célia utilise une série de sabliers de différentes durées qu’elle m’a ordonner de lui procurer pour vérifier le temps écoulé. Cela lui permet de se concentrer sur mes réactions pour s’amuser de la manière dont j’essaie de résister sans bouger. Jusqu’au moment où je commence à me tordre comme un ver, tentant en vain d’échapper à sa prise en proférant des « mmmm… mmmmm… » étouffés. Lorsque je suis proche d’y parvenir, il lui suffit d’affermir sa position. Elle m’enserre alors plus fermement la tête dans le doux et étouffant étau de son pantalon de velours.

4 – Breath control & Étouffement

Après de longues séries d’étranglements entre ses cuisses, Maitresse Célia semble m’accorder une pause. En fait non, voilà qu’elle enfile sur ma tête un grand sac de plastique fin et transparent, du type de ceux utilisés par les pressings pour protéger les vêtements.

Elle le referme en nouant un foulard autour de mon cou. Cette technique me permet de respirer. À ceci près que l’air contenu dans ce grand sac va devenir rapidement de plus en plus vicié. Le temps pour Maîtresse Célia de procéder tranquillement à de nouveaux ajustements.
Elle pratique deux fentes dans le cocon de plastique au niveau de mes tétons et y replace les pinces. Flash intense de douleur…

Elle dégage aussi à coup de ciseaux une fenêtre vers mes parties intimes… et met en place des patches collants. Ils sont reliés à un appareil délivrant des secousses électriques. Tous ces préparatifs prennent du temps et je suffoque dans mon sac fermé de ce foulard bien serré.

J’indique par des gémissements étouffés que je sollicite une pause. Elle retire le foulard et ouvre le sac quelques instant ce qui m’autorise une brève inspiration d’air libre. Puis le sac est remis en place, en serrant plus fort encore le foulard.

Cela augmente la sensation de strangulation, de quoi me faire regretter d’avoir quémandé cette pause !

Breath control & Face sitting

Enfin la préparation de mon prochain supplice se termine. Maîtresse Célia ôte le sac de plastique, me permettant alors prendre de grandes inspirations.

Elle s’assied sur mon visage et je sens à travers ma cagoule de latex toujours en place le contact du pantalon de velours.
Cette chevauchée va rythmer une série d’apnées aléatoires accompagnées de chocs électriques sur mes parties intimes. Dans cette alternance de suffocation et douleur, je perds complètement la notion du temps et de l’espace. Ce divin supplice ne cesse que lorsque mon sexe, malgré moi excité de ces manipulations, explose de jouissance.
Louis, soumis de Maîtresse Célia

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  1. Charonnat

    Pratique nouvelle pour moi néanmoins très excitante

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Les bas couture Cervin, une idée de la Wish list.

(Taille 2)
Ma cagoule de latex ne possède qu’un orifice si facile à obstruer… 

Séance de Breath Control par Louis « Maitresse m’enfile une cagoule de latex qui n’a qu’un tout petit trou facile à obstruer »

Louis manque de renoncer avant de franchir le seuil pour cette séance de breath play qui s’annonce intense…

L’ascenseur monte lentement, très lentement, comme si il voulaitx me laisser le temps et la possibilité d’interrompre ce voyage vers la chambre des supplices : cette séance de privation sensorielle & breathplay avec Maîtresse Célia. Il faut dire que je suis en tort vis à vis de Maîtresse Célia. J’ai du la supplier d’accepter de reporter cette séance, pour cause d’un contretemps de ma part que j’aurais pu.. non dû anticiper.

Aussi je sais que Maîtresse Célia va se montrer des plus sévères

D’autant plus qu’elle m’a demandé de lui décrire par avance quels supplices je mériterais. En insistant sur le fait que je doive les redouter particulièrement… Nul espoir de tricher en évoquant des supplices qui seraient trop indulgents. Maîtresse Célia connait bien ma résistance et mes limites, qu’elle a bien l’intention de repousser pour me punir.

Arrivé sur le palier, j’ai un moment d’hésitation, mais Maîtresse Célia entrouvre la porte.

Elle est vêtue d’un bustier moulant, d’un élégant pantalon de velours, étoffe dont je suis fétichiste, et d’escarpins aux talons vertigineux. Je suis immédiatement subjugué par son regard, à la fois sévère et amusé de mon air pataud et indécis. Je balbutie quelques explications sur les raisons qui m’ont conduit à ne pas honorer mon dernier engagement.

Maîtresse Célia m’expédie dans la salle de bains.

C’est une question d’hygiène, mais surtout, dans mon cas, une étape indispensable. J’ai besoin de ce sas qui me permet de me mettre en condition pour supporter l’épreuve qui m’attend. Quand je ressors de la salle de bains, j’ai définitivement endossé mon état de soumis. Je suis prêt à subir les supplices dont s’amusera ma Maîtresse.

Elle m’ordonne de m’agenouiller au centre de la pièce,

Maîtresse me tourne autour en faisant claquer ses talons. Puis elle commence par me lier les poignets dans le dos avec de solides bracelets de cuir. Ensuite c’est la pose des pinces Japonix sur mes tétons. La douleur est intense, je ne peux réprimer des gémissements. Elle les étouffe en se plaçant derrière moi. Sa main gantée se plaque sur mon visage, obstruant ma respiration.

Commence le premier jeu de breath control
D’une main elle m’étouffe et de l’autre tire de manière saccadée sur la chaine reliant les pinces. Elle s’amuse de mes cris étouffés.

Comme en me débattant je réussis à aspirer un peu d’air, elle m’ordonne de revêtir ma cagoule de latex, qui ne possède qu’un orifice, si facile à obstruer… Cela fait, je subis de longues séries d’étouffements entrecoupés de courtes pauses. Le moment durant lesquelles elle manipule de manière sadique la chaine reliant les pinces Japonix.

Apnées sadiques
Qui a déjà subit la pose de telles pinces sait que la douleur est très intense au début, puis diminue progressivement. Comme si le corps se faisait à cette écrasement de parties sensibles. En manipulant à nouveau les pinces en tirant sur la chaine, leur étau se resserre. La douleur redevient à nouveau très vive.
Ainsi l’alternance entre les apnées et l’action sur les pinces pendant les pauses est des plus sadique. Le soumis à bout de résistance espère une pause qui lui permettra de respirer une goulée d’air. Mais il redoute aussi cette pause qui sera accompagnée d’un pic de douleur à la limite du supportable. D’ailleurs est il même possible de reprendre sa respiration tout en criant ?
Monsieur Cellophane
Je vacille, me balançant de droite à gauche pour chercher à échapper à sa prise. Maîtresse Célia pense qu’il est temps pour que je sois allongé, position qui pourrait paraitre plus confortable. Mais ce n’est qu’un leurre comme la suite va le montrer. En effet il est temps de mener à bien une immobilisation qui me laissera totalement à sa merci. Pour cela elle m’ordonne de me lever, puis saisi un grand rouleau de cellophane. Elle enveloppe mon corps du cou jusqu’au genoux, en me demandant de tourner sur moi même.
Je me sens la proie d’une araignée qui petit à petit m’entoure d’un cocon étanche qui restreint de plus en plus mes mouvements.
Maîtresse Célia m’aide à m’allonger sur le sol en pliant mes genoux. Puis elle m’ordonne de lever les jambes. Elle termine de parfaire cette prison de plastique en entourant mes mollets et mes pieds. De cette manière je suis presque totalement momifié. Elle parfait mon immobilisation en faisant quelques tours autour de ma tête. Ceci brouille ma vue par superposition des couches de cellophane et me fait désespérément suffoquer. Riant de mes vaines tentatives d’aspirer au travers du plastique, elle finit, marque d’indulgence, par dégager deux fentes au niveau des petits trous de ma cagoule. Je peux enfin aspirer de l’air de manière forcenée.
Des cuisses de fer dans un pantalon de velours

Mais ce répit n’est que de courte durée. Elle chevauche mon visage avec son pantalon de velours, pressant la douce étoffe sur ces deux petits orifices palpitants de manque d’oxygène, pour de longues séries d’apnées de durée croissante. Trente secondes suivies d’une courte pause, puis quarante secondes, une minute, une minute trente.

Maitresse Célia utilise une série de sabliers de différentes durées qu’elle m’a ordonner de lui procurer pour vérifier le temps écoulé,
Cela lui permet de se concentrer sur mes réactions pour s’amuser de la manière dont j’essaie de résister sans bouger. Jusqu’au moment où je commence à me tordre comme un ver, tentant en vain d’échapper à sa prise en proférant des mmmm mmmmm étouffés. Lorsque je suis proche d’y parvenir, il lui suffit d’affermir sa position. Elle m’enserre alors plus fermement la tête dans le doux et étouffant étau de son pantalon de velours.
Elle enfile sur ma tête un grand sac de plastique fin et transparent
Après de longues séries d’étouffements, elle semble m’accorder une pause. En fait non, voilà qu’elle enfile sur ma tête un grand sac de plastique fin et transparent, du type de ceux utilisés par les pressings pour protéger les vêtements. Elle le referme en nouant un foulard autour de mon cou. Cette technique me permet de respirer. À ceci près que l’air contenu dans ce grand sac va devenir rapidement de plus en plus vicié. Le temps pour Maîtresse Célia de procéder tranquillement à de nouveaux ajustements.
Elle pratique deux fentes dans le cocon de plastique au niveau de mes tétons et y replace les pinces. Flash intense de douleur…
Electro intime

Elle dégage aussi à coup de ciseaux une fenêtre vers mes parties intimes… et met en place des patches collants. Ils sont reliés à un appareil délivrant des secousses électriques. Tous ces préparatifs prennent du temps et je suffoque dans mon sac fermé de ce foulard bien serré. J’indique par des gémissements étouffés que je sollicite une pause. Elle retire le foulard et ouvre le sac quelques instant ce qui m’autorise une brève inspiration d’air libre. Puis le sac est remis en place, en serrant plus fort encore le foulard. Cela augmente la sensation de strangulation, de quoi me faire regretter d’avoir quémandé cette pause !

Enfin la préparation de mon prochain supplice se termine.
Maîtresse Célia ôte le sac de plastique, me permettant alors prendre de grandes inspirations. Elle s’assied sur mon visage et je sens à travers ma cagoule de latex toujours en place le contact du pantalon de velours. Cette chevauchée va rythmer une série d’apnées aléatoires accompagnées de chocs électriques sur mes parties intimes. Dans cette alternance de suffocation et douleur, je perds complètement la notion du temps et de l’espace. Ce divin supplice ne cesse que lorsque mon sexe, malgré moi excité de ces manipulations, explose de jouissance.
Louis, soumis de Maîtresse Célia

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  1. Charonnat

    Pratique nouvelle pour moi néanmoins très excitante

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