Session BDSM Hard « Je suis empalé par mon crochet, cagoulé, bâillonné, aveuglé, des pinces me mordent les tétons »
Maîtresse Célia est la Punisseuse. Elle dirige une session de BDSM Hard avec le Petit Pervers, qui ne sait plus s'il doit dire "stop" ou "encore" !
J’avais déjà rencontré Maitresse Celia une première fois, lui confessant ma perversion consistant à importuner par des regards insistants les femmes en bottes dans la rue et les transports. La correction qui s’en était suivie avait été plutôt sévère. Mais en bon maso et après une longue hésitation, je décide de demander une session BDSM Hard en confessant à Maitresse Celia que j’ai récidivé… et d’ajouter que je fantasme sur le crochet anal et la cage de chasteté.
Après quelques échanges de mails, me voilà donc de nouveau dans l’antre de Maîtresse.
Je n’ai même pas le temps de l’admirer : me voilà obligé de m’occuper de ses magnifiques escarpins vernis ! Maitresse sait à quel point j’aime les lécher. Puis Maitresse m’ordonne de me déshabiller pour que la séance de léchage continue.
Une douche rapide et me voilà dans la pièce principale.
Pour débuter cette séance BDSM Hard, Maitresse me pose un collier puis, sans aucun ménagement, le crochet anal est enfoncé dans mes entrailles, avant qu’une chaîne ne le relie à mon collier, offrant à Maitresse une jolie position cambrée. Puis, de nouveau ordonné de lécher ses escarpins. En début de séance, j’avais eu l’impression de mettre de l’intensité dans mon léchage. Mais ainsi empalé, je me surprends à être encore plus motivé. Peut-être parce que Maitresse tire sur la chaîne qui relie le collier à mon crochet en se moquant : « c’est pratique, on dirait une valise »
Session BDSM Hard « Madame m’ordonne ensuite de me relever, Maîtresse constatant alors une érection pas du tout à son goût »
Collé contre le mur et la chaîne de mon crochet y est accroché, Maitresse prend soin de s’assurer que ce dernier me remonter au plus profond de mon anus, avant de m’y accrocher les mains et d’installer une barre d’écartement entre mes pieds liés.
Sans vraiment grande surprise, Maitresse se munit d’une cage de chasteté. J’avais déjà réalisé cette pratique, mais les dames précédentes avaient attendu que je débande un peu avant de m’enfermer. Pas Maitresse Celia… Maitresse enfonce et ferme la cage avec une dextérité incroyable. Le sentiment d’appartenance totale à ce moment est juste incroyable… mais Maitresse ne va pas en rester là. S’ensuit la Pose d’une cagoule, d’un bâillon de grosse taille puis Maitresse finit l’installation en obturant mes yeux à l’aide d’un bandeau de cuir qui se clipse sur cette cagoule…
C’est à ce moment que la session BDSM Hard va justifier le titre de mon témoignage
La torture des tétons va commencer : ongles, badines, pinces en tous genre…. Je gémis mais rien n’y fait. Puis Maitresse me dit
« Je suis la Punisseuse, tu sais pourquoi tu es là. Souffre et tais-toi. Tu es dans cette prison pour un bon moment »
Je ne sais pas comment ma Maitresse avait découvert ce qui était mon plus grand fantasme ! Incroyable ! Comment pouvait-elle savoir que la punisseuse impitoyable était mon fantasme ultime !
Je ne sais jamais à partir de quel moment on peut parler d’une session BDSM hard, mais pour moi on y était.
J’avais vraiment mal aux tétons, mal à l’anus. Mais je ne pouvais que subir, sans aucune autre option si ce n’est celle de gémir dans mon bâillon et sentir la bave en couler. La torture s’arrête enfin avec un vrai sentiment de… déception ! Quand on réalise un tel fantasme, on n’a juste pas envie que cela s’arrête, même si cela fait mal très mal ! Masochisme, quand tu nous tiens ! Mais je ne savais pas encore que Maitresse avait prévu la suite….
Je suis toujours empalé par mon crochet, cagoulé, bâillonné, aveuglé, en chasteté, des pinces très fortes qui me mordent les chairs des tétons.
Poursuivant cette session BDSM Hard, Madame me détache du mur pour me mettre immédiatement à quatre pattes et me traîne en laisse jusque dans la pièce avec le lit. J’ai un mal fou à monter. Mais encore une fois Maitresse n’a aucune pitié pour les douleurs que je peux éprouver. Me voilà à 4 pattes sur le lit lorsque Madame m’attrape les mains pour les attacher à mes pieds. Malheureusement la position est insupportable, me tirant sur le cou.
Et c’est là où Maitresse Célia montre son professionnalisme : elle comprend immédiatement que quelque chose ne va pas, me détache et m’invite à faire une pause.
En revanche elle n’avait pas anticipé que j’allais juste repositionner ma tête différemment et immédiatement lui retendre mes mains entre mes jambes pour être immédiatement attaché, à sa merci ! Je sens bien que cette position satisfait Maitresse. Elle me possède totalement et je l’entends prendre quelques photos pour immortaliser le moment.
Session BDSM Hard « Madame décide ensuite de me mettre sur le dos et de m’attacher les jambes en l’air, très écartée »
Elle ôte le bâillon et vient positionner son magnifique postérieur sur mon visage. J’avais déjà remarqué que Maitresse Celia aimait cette pratique et surtout qu’on lui lèche sa culotte. Autant dire que je n’ai pas à me faire prier. Je ne sais pas comment Maitresse a ressenti le moment, mais j’ai déployé toute mon énergie pour la satisfaire !
À tel point que j’en avais des crampes dans la bouche. Peu importe, je la léchais frénétiquement. Parfois même sa culotte se déplaçait et j’en profitait pour lécher ses douces lèvres… Mais que c’est bon… Je réalise à quel point être en cage de chasteté permet d’oublier son propre plaisir pour se concentrer uniquement sur celui de sa partenaire. Et sentir Madame frémir sous mes coups de langue est une telle satisfaction !
Mais Maitresse décide de reprendre son rôle de punisseuse, me renfonçant le bâillon dans ma bouche déjà pleine de crampes.
Je suis ainsi allongé, jambes écartées, et dans cette position le crochet est vraiment douloureux. Qu’importe. Madame saisit une badine et une cravache et les alterne pour me fouetter l’intérieur des cuisses ! J’avais déjà vécu des séances intenses de caning sur les fesses. Et c’est très douloureux. Mais là… ça fait vraiment mal. Je pense que Maitresse comprend à ce moment que je souffre pour de bon mais d’ajouter :
« Je suis la Punisseuse et c’est moi qui décide quand j’arrête. C’est ce que mérite un pervers comme toi »
Et la torture reprend… J’ai gardé des bleus sur tout l’intérieur des cuisses quasiment trois semaines… Les marques étaient tellement grosses que j’ai dû expliquer à ma femme que j’étais resté assis trop longtemps dans une mauvaise position… Elle ne m’a cru qu’à moitié mais comment aurait-elle pu imaginer que c’était l’œuvre de la Punisseuse ?
Quand enfin la pluie de coups s’arrête, Maitresse Celia me détache pour me traîner dans la douche.
Je crois percevoir une certaine excitation et satisfaction chez elle car je suis vraiment traité sans aucun ménagement ! En entrant dans la douche, Madame m’enlève la cagoule avant de me re bâillonner et détacher ma cage.
« Je vais te pisser dessus. Tu auras le temps de cette douche pour jouir. Après il sera trop tard »
À peine libéré et ayant toujours une partie de la cage de chasteté, je me mets à me masturber frénétiquement, tout en profitant d’une douche très abondante. La scène est d’une telle intensité que je me vide sans vraiment jouir…. Maitresse retire enfin les pinces de mes tétons et le crochet avant de finir de me retirer bâillon et collier. Trempé du Champagne de Madame, elle m’invite à prendre une douche et à la retrouver autour d’un café.
Alors que nous discutons de ce moment passé incroyable, j’ai juste envie de me jeter à ses pieds. Ce que je finis par faire.
Alors que j’embrasse son escarpin droit, je sens son escarpin gauche venir m’écraser la tête pour me rappellera encore une fois que ma place est aux pieds de Maitresse. Puis Maitresse Celia de conclure « Je n’ai encore jamais mis mes cuissardes avec toi ? » Je sens que ma nouille gonfle dans mon pantalon, il est temps de partir.
Session BDSM Hard « Je suis empalé par mon crochet, cagoulé, bâillonné, aveuglé, des pinces me mordent les tétons »
Maitresse sait à quel point j’aime lécher ses magnifiques escarpins vernis. Il m’aura fallu du temps pour me remettre de cette séance avec la punisseuse…
J’avais déjà rencontré Maitresse Celia une première fois, lui confessant ma perversion consistant à importuner par des regards insistants les femmes en bottes dans la rue et les transports. La correction qui s’en était suivie avait été plutôt sévère. Mais en bon maso et après une longue hésitation, je décide de demander une séance BDSM Hard en confessant à Maitresse Celia que j’ai récidivé… et d’ajouter que je fantasme sur le crochet anal et la cage de chasteté.
Séquence Admiration
Après quelques échanges de mails, me voilà donc de nouveau dans l’antre de Maîtresse. Je n’ai même pas le temps de l’admirer : me voilà obligé de m’occuper de ses magnifiques escarpins vernis ! Maitresse sait à quel point j’aime les lécher. Puis Maitresse m’ordonne de me déshabiller pour que la séance de léchage continue.
Séquence Objectivation
Une douche rapide et me voilà dans la pièce principale. Pour débuter cette séance BDSM Hard, Maitresse me pose un collier puis, sans aucun ménagement, le crochet anal est enfoncé dans mes entrailles, avant qu’une chaîne ne le relie à mon collier, offrant à Maitresse une jolie position cambrée. Puis, de nouveau ordonné de lécher ses escarpins. En début de séance, j’avais eu l’impression de mettre de l’intensité dans mon léchage. Mais ainsi empalé, je me surprends à être encore plus motivé. Peut-être parce que Maitresse tire sur la chaîne qui relie le collier à mon crochet en se moquant : « c’est pratique, on dirait une valise »
Séquence anti-bandaison
Madame m’ordonne ensuite de me relever, Maîtresse constatant alors une érection pas du tout à son goût. Collé contre le mur et la chaîne de mon crochet y est accroché, Maitresse prend soin de s’assurer que ce dernier me remonter au plus profond de mon anus, avant de m’y accrocher les mains et d’installer une barre d’écartement entre mes pieds liés.
Sans vraiment grande surprise, Maitresse se munit d’une cage de chasteté. J’avais déjà réalisé cette pratique, mais les dames précédentes avaient attendu que je débande un peu avant de m’enfermer. Pas Maitresse Celia… Maitresse enfonce et ferme la cage avec une dextérité incroyable. Le sentiment d’appartenance totale à ce moment est juste incroyable… mais Maitresse ne va pas en rester là. S’ensuit la Pose d’une cagoule, d’un bâillon de grosse taille puis Maitresse finit l’installation en obturant mes yeux à l’aide d’un bandeau de cuir qui se clipse sur cette cagoule…
Séquence Gare aux Tétons
C’est à ce moment que la séance BDSM Hard va justifier le titre de mon témoignage. La torture des tétons va commencer : ongles, badines, pinces en tous genre…. Je gémis mais rien n’y fait. Puis Maitresse me dit
« Je suis la Punisseuse, tu sais pourquoi tu es là. Souffre et tais-toi. Tu es dans cette prison pour un bon moment »
Je ne sais pas comment ma Maitresse avait découvert ce qui était mon plus grand fantasme ! Incroyable ! Comment pouvait-elle savoir que la punisseuse impitoyable était mon fantasme ultime !
Quand la séance devient hard
Je ne sais jamais à partir de quel moment on peut parler d’une séance BDSM hard, mais pour moi on y était. J’avais vraiment mal aux tétons, mal à l’anus. Mais je ne pouvais que subir, sans aucune autre option si ce n’est celle de gémir dans mon bâillon et sentir la bave en couler. La torture s’arrête enfin avec un vrai sentiment de… déception ! Quand on réalise un tel fantasme, on n’a juste pas envie que cela s’arrête, même si cela fait mal très mal ! Masochisme, quand tu nous tiens ! Mais je ne savais pas encore que Maitresse avait prévu la suite….
Je suis toujours empalé par mon crochet, cagoulé, bâillonné, aveuglé, en chasteté, des pinces très fortes qui me mordent les chairs des tétons.
Poursuivant cette séance BDSM Hard, Madame me détache du mur pour me mettre immédiatement à quatre pattes et me traîne en laisse jusque dans la pièce avec le lit. J’ai un mal fou à monter. Mais encore une fois Maitresse n’a aucune pitié pour les douleurs que je peux éprouver. Me voilà à 4 pattes sur le lit lorsque Madame m’attrape les mains pour les attacher à mes pieds. Malheureusement la position est insupportable, me tirant sur le cou. Et c’est là où Maitresse Célia montre son professionnalisme : elle comprend immédiatement que quelque chose ne va pas, me détache et m’invite à faire une pause.
En revanche elle n’avait pas anticipé que j’allais juste repositionner ma tête différemment et immédiatement lui retendre mes mains entre mes jambes pour être immédiatement attaché, à sa merci ! Je sens bien que cette position satisfait Maitresse. Elle me possède totalement et je l’entends prendre quelques photos pour immortaliser le moment.
Séquence satisfaction (de Maîtresse)
Madame décide ensuite de me mettre sur le dos et de m’attacher les jambes en l’air, très écartée. Elle ôte le bâillon et vient positionner son magnifique postérieur sur mon visage. J’avais déjà remarqué que Maitresse Celia aimait cette pratique et surtout qu’on lui lèche sa culotte. Autant dire que je n’ai pas à me faire prier. Je ne sais pas comment Maitresse a ressenti le moment, mais j’ai déployé toute mon énergie pour la satisfaire !
À tel point que j’en avais des crampes dans la bouche. Peu importe, je la léchais frénétiquement. Parfois même sa culotte se déplaçait et j’en profitait pour lécher ses douces lèvres… Mais que c’est bon… Je réalise à quel point être en cage de chasteté permet d’oublier son propre plaisir pour se concentrer uniquement sur celui de sa partenaire. Et sentir Madame frémir sous mes coups de langue est une telle satisfaction !
Séquence Punition
Mais Maitresse décide de reprendre son rôle de punisseuse, me renfonçant le bâillon dans ma bouche déjà pleine de crampes. Je suis ainsi allongé, jambes écartées, et dans cette position le crochet est vraiment douloureux. Qu’importe. Madame saisit une badine et une cravache et les alterne pour me fouetter l’intérieur des cuisses ! J’avais déjà vécu des séances intenses de caning sur les fesses. Et c’est très douloureux. Mais là… ça fait vraiment mal. Je pense que Maitresse comprend à ce moment que je souffre pour de bon mais d’ajouter :
« Je suis la Punisseuse et c’est moi qui décide quand j’arrête. C’est ce que mérite un pervers comme toi »
Et la torture reprend… J’ai gardé des bleus sur tout l’intérieur des cuisses quasiment trois semaines… Les marques étaient tellement grosses que j’ai dû expliquer à ma femme que j’étais resté assis trop longtemps dans une mauvaise position… Elle ne m’a cru qu’à moitié mais comment aurait-elle pu imaginer que c’était l’œuvre de la Punisseuse ?
Séquence Finition
Quand enfin la pluie de coups s’arrête, Maitresse Celia me détache pour me traîner dans la douche. Je crois percevoir une certaine excitation et satisfaction chez elle car je suis vraiment traité sans aucun ménagement ! En entrant dans la douche, Madame m’enlève la cagoule avant de me re bâillonner et détacher ma cage.
« Je vais te pisser dessus. Tu auras le temps de cette douche pour jouir. Après il sera trop tard »
À peine libéré et ayant toujours une partie de la cage de chasteté, je me mets à me masturber frénétiquement, tout en profitant d’une douche très abondante. La scène est d’une telle intensité que je me vide sans vraiment jouir…. Maitresse retire enfin les pinces de mes tétons et le crochet avant de finir de me retirer bâillon et collier. Trempé du Champagne de Madame, elle m’invite à prendre une douche et à la retrouver autour d’un café.
After care
Alors que nous discutons de ce moment passé incroyable, j’ai juste envie de me jeter à ses pieds. Ce que je finis par faire. Alors que j’embrasse son escarpin droit, je sens son escarpin gauche venir m’écraser la tête pour me rappellera encore une fois que ma place est aux pieds de Maitresse. Puis Maitresse Celia de conclure « Je n’ai encore jamais mis mes cuissardes avec toi ? » Je sens que ma nouille gonfle dans mon pantalon, il est temps de partir.
Les escarpins vernis ultimes et iconiques : Louboutins Kate ou Pigalle 100 mm (taille 39 au cas où…)