Féminisation forcée - Celia Domina

Féminisation forcée de Léa « Je vais combler tes désirs tu vas devenir une vraie petite pute. Approche-toi et mets toi à genoux »

Féminisation forcée de Léa. Léa raconte sa séance conviviale et sensuelle avec Maitresse Célia qui procède à sa féminisation poussée

Lors d’un premier contact avec Maîtresse Célia je lui confiais mon désir de féminisation forcée. C’est pourquoi je lui confirmais ma réservation d’une séance. Le jour dit je suivais ses dernières indications pour la rejoindre à quelques rues de la sortie du métro.

Quand je sortais de l’ascenseur une porte s’ouvrit. Je m’y dirigeais avec un mélange d’empressement et d’inquiétude.

Maîtresse Célia m’accueillit et referma la porte. Alors elle me toisa quelques secondes sans rien dire en affichant un léger sourire. Puis elle m’invita à avancer et  me posa quelques questions d’une voix posée.

Elle était élancée, avec une belle chevelure et très sexy dans sa mini-jupe, ses bas et ses talons aiguilles. De plus, son décolleté laissait deviner sa superbe poitrine.

Lumière tamisée et musique d’ambiance jazzy commençaient à m’émoustiller.

Elle m’invita à me mettre à l’aise. C’est à dire que je compris que je devais me déshabiller, ce que je fis rapidement. C’est ainsi que je me retrouvais en simple shorty légèrement transparent sous lequel j’avais enfilé un mini string (sans doute pour lui faire bonne impression).

De sa badine en cuir elle les fit glisser l’un après l’autre.

Non sans avoir ironisé sur ce choix singulier de porter deux dessous qu’elle trouvait néanmoins seyants. 

« Viens par ici » m’ordonna-t-elle en me demandant d’avancer vers le milieu de la pièce, nu et intimidé.

Ses mains m’effleuraient torse, tétons, et fesses. Dans le même temps, sa badine glissait également le long de mon dos, s’insinuant entre mes cuisses.

Ensuite elle me passa un collier autour du cou, ainsi qu’une laisse et des bracelets aux poignets.

« Alors comme ça tu as un désir de féminisation forcée? Tu veux que je te transforme en femme ? » me demanda-t-elle… « Je vais combler tes désirs tu vas devenir une vraie petite pute. Je serai ton mac. Approche toi et mets-toi à genoux ».

Elle m’attira à elle par la laisse. Puis ce fut le début de ma féminisation forcée.

D’abord elle s’était assise pour préparer son nécessaire à maquillage. Je me plaçais devant elle.

Ses gestes étaient sûrs et précis mais également très doux. C’est ainsi qu’elle m’appliqua du fond de teint, du fard à paupières ainsi que du rouge à lèvres.

Puis elle me demanda de choisir une perruque. J’optais pour une brune qu’elle ajusta. Ce n’est qu’ensuite que je fus enfin autorisée à me contempler dans un miroir.

Ma féminisation forcée prenait corps.

Satisfaite de son travail elle m’ordonna de me relever. Puis elle alla chercher une boite à l’intérieur de laquelle je devinais de la lingerie, pour achever ma féminisation forcée.

Alors Maitresse passa derrière moi pour fixer un porte-jarretelles noir. Ensuite elle me demanda d’enfiler des bas que j’attachais maladroitement et fébrilement au porte-jarretelles.

Pour finir, je dus, moment plus périlleux, glisser mes pieds dans une paire d’escarpins rouges du plus bel effet.

« Tu commences à ressembler à une petite femelle, mais il te manque quelque chose pour compléter ta féminisation forcée », glissa-t-elle en retirant de la boite un soutien-gorge rouge qu’elle m’agrafa avec doigté.

Ceci fait, Maitresse rembourra les bonnets avec des bas. L’illusion était presque parfaite. C’est ainsi que je m’abandonnais à cette idée d’avoir une apparence complètement féminine.

«Marche et sois élégante maintenant que es devenue ma petite pute soumise», me dit-elle. Maitresse se moquait de ma démarche hésitante, perché que j’étais sur ces talons pour moi vertigineux.

«Approche et agenouille toi, enlève les bas de ta Maîtresse et applique toi». J’obéissais alors à cette injonction qui n’était pas pour me déplaire.

Il faut dire que l’idée d’effleurer ses magnifiques jambes gainées de nylon m’excitait, provoquant un début d’érection. Bien sûr Maîtresse s’en aperçut mais elle n’en dit mot.

Je retirais ses escarpins puis glissais mes doigts sous sa jupe.

Ainsi j’atteignais le haut de ses bas que je détachais du porte-jarretelles. Puis je les fis glisser le long de ses jambes. Divine manipulation!

Satisfaite de sa soumise elle m’ordonna ensuite de lécher ses doigts de pieds. « Tu lèches bien ma petite Léa » (prénom que je lui avais proposé pour la séance), « Continue », m’encouragea-t-elle.  

Au bout de quelques minutes, sans doute ravie de cette première manifestation de docilité, elle se leva et se dirigea vers le milieu de la pièce où je la rejoignis. C’est alors que Maitresse me fit poser mes mains sur sa nuque, se rapprochant de moi, ses mains caressant puis malaxant mes fesses.

« Tu es désormais ma petite femelle soumise, je suis ton mac et tu m’appelles Monsieur », me susurra-t-elle tout en continuant à pincer mes fesses.

Je lui répondais en utilisant ce vocable, désireux de prolonger encore ce moment voluptueux où Maitresse disposait de moi, devenu son objet.

« Passons maintenant aux choses sérieuses » indiqua-t-elle, mettant fin à ce moment sensuel. Maitresse me plaça face à un mur tendu d’un rideau noir et attacha mes poignets à des lanières fixées de part et d’autres. 

« Ecarte tes jambes et cambre toi bien». « Tu as un joli cul je suis sûre qu’il plairait à mon amant » minauda-t-elle. « Je vais te prendre en photo, lui en envoyer une et on verra ».

Je l’entendis alors prendre des clichés puis s’approchant, elle commença à me caresser. Cependant ce répit fut de courte durée car vint le moment où Maitresse décida de punir sa soumise. C’est ainsi qu’aux caresses succédèrent de toniques claques sur les fesses que néanmoins j’appréciais imaginant déjà la suite. Celle-ci arriva vite.

Maîtresse, que je ne voyais plus du fait de ma position face au mur, semblait manipuler un objet dont je ne devinais que trop l’usage qu’elle allait en faire. À cet instant je sentis alors un liquide froid s’insinuer dans mes fesses puis des doigts pénétrer  ma rondelle.

« Je vois que cela te fais de l’effet petite cochonne… Je vais m’occuper maintenant de ce joli petit cul de soumise».

À peine la phrase achevée je sentis le gode de Maîtresse s’enfoncer lentement en moi. Cela déclencha un premier gémissement, mélange de douleur et de plaisir.

Elle commença alors ses va-et-viens

D’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, provoquant chez sa soumise des râles qu’elle interrompit en  me faisant sucer un doigt que j’imaginais être le  sexe d’un homme. Il faut bien avouer que cette pénétration et cette fellation digitale me comblaient.

Estimant avoir suffisamment fait jouir sa soumise, Maîtresse détacha ma main droite et m’ordonna de me masturber.

Mon sexe était alors presque en érection. J’obéissais avec plaisir, soulagé de ne plus subir les assauts du gode. J’arrivais enfin à l’éjaculation.

Elle recueillit mon sperme dans une sorte d’écuelle, le mélangea avec un autre liquide qu’elle me força à boire. Cette séance touchait à l’extase.

Mais c’était sans compter sur une dernière punition administrée face au mur. Cette fois-ci ce furent les lanières d’un martinet qui cinglèrent mes fesses. La douleur devenant de plus en plus forte, je suppliais en mon fort intérieur pour que cesse ce dernier supplice, moment qui vint enfin.

Je fus détaché, les fesses rougies et brûlantes, le souffle court.

La séance s’achevait. Maîtresse Célia m’aida alors à quitter les attributs vestimentaires qui avaient fait de moi une femelle soumise à la volonté de sa Maitresse. Puis elle me démaquilla avec prévenance.

Une douche et un café plus tard

Après quelques échanges agréables avec mon hôtesse, je prenais congé encore sous l’effet de cette séance menée de main de Maîtresse. J’étais conforté dans mon choix de l’avoir contactée.

Léa

Cet article a 2 commentaires

  1. Titibertin

    J’aurais bien aimé être à la place de Léa pour cette féminisation…hâte de vous contacter maitresse.

  2. Bruno

    J imagine que le martinet après l’éjaculation doit être particulièrement difficile a vivre. Ce doit être très agréable de boire un café après une telle séance… Les masques sont tombés chacun est à sa place. Combien de temps la séance a t elle durée ?

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