Histoire d’O revue et corrigée par Maîtresse Célia

C’est avec Maîtresse Célia que je veux vivre ma première expérience. Je me remettrai totalement à ses ordres et à ses choix pour accéder à mon fantasme : devenir O comme dans la BD collector de Guido Crepax que je lui offre pour nourrir son inspiration…

Acte 1 – Prise de possession en toute confiance

Sur place, le premier contact coupe le souffle: sublime dans son bustier en cuir rouge et noir, Maîtresse Célia m’ordonne de me déshabiller. La confiance et l’autorité qu’elle inspire rendent cette première étape très naturelle. Maîtresse prend possession de son soumis en me fixant un collier autour du cou et une laisse. À quatre pattes, à ses pieds, l’abandon est total, les ordres vont s’enchainer pendant deux heures, sans que je ne connaisse le programme.

« Les images de soumises de John Willie, Tomi Ungerer, Georges Pichard, Loïc Dubigeon, Guido Crépax… donnent des idées à Maîtresse Célia ».

Prosterné, je découvre d’abord la froide sensation d’un crochet anal. La main ferme de Maîtresse Célia tend sèchement la corde qui relie le crochet au collier, m’imposant une position très cambrée. Je subis alors une première fessée.

Solidement immobilisé en croix, je reçois ensuite des coups de martinet et de paddle sur les fesses et dans le dos. L’excitation est telle qu’elle entraine un début d’érection.

« Qui t’a donné l’autorisation de bander ! s’exclame Maîtresse Célia, il va falloir que je te dresse sévèrement ».

Immédiatement les coups s’intensifient, la punition s’annonce rude. Maîtresse m’attache en en croix, de face, et poursuit le châtiment par une douloureuse séance de flagellation du sexe, appliquée avec un redoutable petit fouet en cuir. S’ensuit la pose d’une cage de chasteté, qui empêchera toute nouvelle érection.

La douloureuse initiation se poursuit avec une pompe à vide, puis des pinces appliquées sur mes seins.

La sublime dominatrice installe un harnais strapon. En laisse, à quatre pattes, elle me conduit sur le lit et m’attache solidement. Maîtresse Célia s’introduit fermement et profondément (c’est une première pour moi).

« Comme tu présentes de bonnes dispositions, je vais pouvoir essayer un fist » annonce-t-elle à ma grande surprise.

Épilogue inattendu dès cette première séance, et non négociable, je suis attaché et bâillonné. La main de Maîtresse s’introduit sans plus attendre au plus profond de moi. L’abandon est vraiment total.

Maîtresse Célia me rappelle que je dois encore recevoir une punition et assène 15 coups d’une canne douloureuse.

Au terme de cette merveilleuse initiation, la divine dominatrice accepte d’entamer un nécessaire dressage lors d’une seconde séance.

Acte 2 – Le dressage d’O débute intensément sous une pluie de coups de cravache

Une semaine après cette première séance, l’accueil de Maîtresse Célia est cinglant et autoritaire. Des signes d’arrogance et des maladresses justifient un recadrage. Obéir avec humilité, sans prendre d’initiative et en gardant toujours à l’esprit que je ne suis qu’un petit vicieux qui doit être beaucoup mieux dressé pour espérer mériter le privilège de se trouver de nouveau aux pieds de Maîtresse.

Je dois confesser mes fantasmes à l’aide d’une sélection de bandes dessinée SM. À genoux, aux pieds de Maitresse, je commente des postures, des tenues et des punitions tirées d’images de John Willie, Tomi Ungerer, Georges Pichard, Loïc Dubigeon, Guido Crépax… 

Les images de soumises très cambrées inspirent Maîtresse qui attache d’abord les menottes haut dans mon dos au collier.

« N’as-tu jamais porté de talons, soumis ? demande Maîtresse Célia avec autorité. Je vais rapidement remédier à ce manquement »

Quelques instants après, me voilà bien cambré pour subir une première correction avec longue et fine cravache au sifflement strident. Les coups s’intensifient et s’accélèrent, trop vite pour les compter. La brulure devient insupportable, je supplie en vain Maîtresse pour que cesse le châtiment. Inflexible, elle poursuit la flagellation, le temps me semble long.

« Tu ne bouges pas d’un millimètre tant que je ne t’en donne pas la permission » ordonne Maîtresse en me plaçant au milieu des bandes dessinées que j’avais présentées pour une séance de photographies

Inconfortablement immobilisé face contre sol, Maîtresse m’accorde un court répit, pendant lequel elle savoure un café. C’est alors au fouet de retentir. La douleur est redoutable. Retour à la fine cravache dans des positions humiliantes et inconfortables, les bras tirés vers le haut et les fesses projetées en arrière.

Maîtresse m’attache ensuite mains dans le dos et pieds en l’air, avec les jambes très ouvertes. Elle va me cravacher l’intérieur des cuisses, comme dans une image d’Histoire d’O.

Les coups s’enchainent de nouveau avec vigueur et rapidité. La douleur devient terrible après une trentaine de coups.

« Pitié Maîtresse Célia ! 
— Pourquoi accorderais-je ma pitié à un soumis qui doit faire ses preuves ? » répond-elle sèchement

Plus vite, plus fort, la correction va encore durer de longues minutes malgré mes vaines supplications. À son terme, Maîtresse Célia annonce qu’elle a décidé de m’appeler à l’avenir O parce que je l’ai mérité. Je la remercie humblement.

Je porte encore aujourd’hui de belles marques qui me rappellent le plaisir -la fierté- d’avoir été sévèrement et longuement battu par Maîtresse Célia. Une forme d’extase incroyable. Il faudra à l’avenir subir d’autres châtiments, et certainement découvrir la morsure féroce du fouet, pour espérer conserver le nom de O. J’attends donc avec impatience -et appréhension- la prochaine séance au donjon de Maîtresse Célia pour m’en remettre de nouveau à ses ordres et lui exprimer respectueusement toute ma gratitude et mes remerciements.

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