Elle me donna les instructions nécessaires pour la rejoindre, et je me trouvais rapidement à la porte de son donjon. Elle me fit entrer et me demanda de me dévêtir, sous son regard autoritaire mais rassurant.

Inspection des couches du diaper lover

J’étais presque nu face à elle, vêtu uniquement de ma couche, que je portais depuis plusieurs heures comme elle me l’avait demandé. Elle remarqua aussitôt qu’elle était humide et me fit m’installer sur une grande table en bois servant de table à langer. Une fois allongé, elle me bâillonna la bouche et banda mes yeux. Seules mes oreilles pouvaient me faire comprendre ce qui se passait autour de moi, et j’entendis bientôt un son métallique. Je compris très vite que Maîtresse s’était emparé d’une chaîne, qu’elle attacha délicatement à mes chevilles, puis à mes poignets. Elle tira sur les chaînes, et mes quatre membres furent bientôt suspendus en l’air, laissant tout loisir à Maîtresse de disposer de moi comme elle l’entendait. Elle entreprit d’ouvrir ma couche et me félicita d’abord pour l’absence de poils sur mon pubis, qui prouvait ma condition de bébé.

Chaste précaution

À cet instant je commis l’erreur de recourir à la parole, et je reçu immédiatement une série de fessées qui me dissuada de recommencer. Tout cela commençait à faire durcir mon sexe, et celui-ci fut très rapidement enfermé, bien en sécurité, dans une lourde cage de chasteté en métal. Débarrassée de ce perturbateur, Maîtresse inspecta mon anus, et remarqua aussitôt qu’il semblait habitué à recevoir des godes, je hochai la tête pour approuver. Une profonde excitation montait en moi, et la cage fermement posée sur mon sexe ne faisait qu’amplifier cette sensation.

Quand le lavement s’impose

Maîtresse sorti de la pièce et me laissa seul, allongé les quatre fers en l’air, les fesses exposées sur ma couche humide, bâillonné, yeux bandés, le sexe enfermé dans sa prison se métal. J’entendis au loin un bruit d’eau, et Maitresse ne tarda pas à revenir en annonçant qu’un nettoyage s’imposait. Elle enduit délicatement mon anus de lubrifiant, et y insérera une canule. L’eau ne tarda pas à s’y engouffrer, et je fus rempli rapidement. Lorsqu’elle fut satisfaite, Maîtresse enleva la canule et la remplaça par un plug qui rentra très facilement : Maîtresse avait raison, j’étais « entraîné » à bien plus gros. Constatant que ma couche n’était pas tout à fait pleine, elle décida de ne pas me changer, et la referma. Elle ajouta une culotte plastique pour éviter tout débordement. Maîtresse sorti de la pièce. J’ignore combien de temps je restai ainsi, la privation de mes sens me faisant perdre aussi la notion du temps. Je sentais le lavement faire son effet dans mon ventre, mais je serai les fesses pour retenir le plug, horrifié à l’idée de devoir tout relâcher dans ma couche. Lorsque Maîtresse revint, elle s’assura que tout allait bien, et elle ne tarda pas à m’annoncer qu’elle avait une « envie ». Elle me détacha et me fit m’assoir tout doucement et je senti le plug s’enfonçait profondément. Elle me dit ensuite me lever et me tira en laisse à travers l’appartement. Mes yeux étaient toujours bandés alors je ne savais pas où j’allais, mais j’arrivai bientôt à destination.

La Golden Shower forcée

Maîtresse me fit m’y allonger, et remplaça mon bâillon par un autre qui permettait de maintenir ma bouche grande ouverte. Le sol était froid et humide et je commençai à grelotter. Alors Maîtresse alluma l’eau chaude pour me réchauffer, ce qui fut très agréable. Je senti bientôt un deuxième jet : Maîtresse était en train de se soulager sur moi. D’abord sur ma couche, puis mon ventre, jusqu’à mon visage. Incapable de refermer ma bouche, celle-ci se trouva très vite rempli de son urine. Cette expérience fut très nouvelle pour moi, mais je suis fier d’avoir réussi à satisfaire Maitresse. La récompense allait bientôt venir…

Libération anale

Maîtresse me nettoya et retira ma couche, elle me fit ensuite assoir sur les toilettes et retira le plug. Il fallait maintenant que je me vide, et je devais l’appeler quand j’avais terminé. Après quelques minutes à pousser je fis appel à Maîtresse qui m’essuya les fesses, elle me félicita car elles étaient bien propres.

L’extase anale

Je la suivi ensuite dans la chambre où un grand lit à chaînes m’attendais. Je pris place et fut rapidement attaché dans la même position que sur la table à langer. Maîtresse enfila son gode ceinture. Elle commença par me doigter, puis s’empala ensuite facilement en moi, et entreprit de me baiser comme je le méritais. J’étais pleinement soumis à Maîtresse, mon anus offert à son sexe, alors que le mien était impuissant dans sa cage. Un accomplissement. Elle décida ensuite d’essayer une première fois de me fister, mais je n’étais pas prêt. Alors elle me détacha pour que je me retourne et me mette à quatre pattes. Je me faisais maintenant baiser en levrette, mon sexe tiré vers le bas par sa lourde cage se balançait dans le vide. Un plaisir intense montait en moi, mais mes jambes et mes bras ne tenaient plus et je m’effondrai à plat ventre. Je fus de nouveau attaché, Maîtresse pris un instant pour immortaliser ce tableau, fière de son œuvre. J’étais honoré d’en faire partie, et ce fut le début du bouquet final. Maîtresse me pris de nouveau par derrière avec son gode ceinture, et ensuite je crois avec différents godes. Ayant la tête dans les oreillers, je ne pouvais plus voir ce qu’elle m’introduisait…

Je la sentis me pénétrer au plus profond de moi, tout en élargissant de plus en plus mon anus. Le paroxysme fut atteint lorsque, tentant une nouvelle fois de me fister, Maîtresse me fit gémir comme une pucelle. Le reste de mes souvenirs est noyé dans une ivresse de plaisir et de douleur.

Lorsque je recouvrais mes esprits, Maîtresse me langeait délicatement dans une couche propre afin que je puisse rentrer en sécurité. Je remercie infiniment Maîtresse Célia pour ce moment passé ensemble, elle a su m’apporter un plaisir intense jusque-là inconnu et m’a fait dépasser de nouvelles limites.

Toutes les pratiques de l’anal play avec Maîtresse Célia