Le Fisting de Léa « Je n’aurais jamais cru que mon premier fist serait aussi extatique »
La mère de Léa charge Maitresse Célia de la préparation au mariage de sa jeune ado rebelle. Mais Léa ne compte pas se laisser faire. Elle finira cependant vaincue. Léa se fait fister pour la première fois et elle aime ça.
Cette fois j’étais Léa jeune rebelle qui venait pour son premier fisting. Ce n’était pas la première fois que je rencontrais Madame mais l’excitation était toujours aussi forte lors des quelques pas qui séparent son ascenseur de la porte de son appartement. Une fois cette porte passée, j’étais aussitôt prié de me déshabiller. Rasé intégralement comme nous l’avions convenu, je fus immédiatement réprimandé pour ne pas avoir enfiler les bas et le porte jarretelle qui devaient me mettre dans la peau de Léa. Mes dessous furent rapidement enfilés ainsi qu’un corset ajusté au plus juste à tel point que ma respiration était difficile.
Puis, je fus invité à passer dans l’autre pièce dans laquelle se trouvait une chaise ornée sur son assise d’un godemichet de taille respectable, sans doute pour préparer mon premier fist
Une fois lubrifié et sans plus attendre, je dus m’asseoir sur celui-ci jusqu’à sa garde. J’avais probablement sous-estimé sa taille tellement je le sentais en moi. Nu, introduit et féminisé, je n’étais déjà plus la même personne qui était arrivée quelques minutes auparavant.
Madame trouva certainement que mes cuisses n’étaient pas assez ouvertes puisqu’elle plaça une barre d’écartement entre mes chevilles.
Elle décida alors de passer un lien autour de celles-ci, relié au dossier de la chaise. J’étais alors totalement immobilisé, les cuisses ouvertes à près de 180 degrés. Madame m’ajusta un bâillon-boule ainsi qu’un bandeau ne me permettant plus de voir quoi que ce soit.
Léa avant son premier fist se prend une pluie de gifles punitives
Les premières gifles ne tardèrent pas à voler. Madame m’avait prévenu qu’elle avait été missionnée par ma tante de me mater.Ses doigts commencèrent à tortiller vigoureusement mes tétons. Au bout de quelques minutes, la douleur se faisait de plus en plus intense mais je résistais encore. J’étais alors loin d’imaginer que j’allais perdre la partie quelques instants plus tard.
Une fois mes tétons mis en condition, ce fut à mon sexe de se voir giflé sans ménagement.
Sous l’excitation du moment, il était dur et lourd. Il claquait sur mes cuisses lorsque les gifles étaient latérales et sur le rebord de la chaise lorsqu’elles étaient verticales. Je commençais à lâcher prise mais mon esprit me l’interdisait comme je me l’étais imposé.
Dès lors, Madame ajusta des pinces sur mes tétons devenus hyper sensibles par les vigoureux pincements reçus quelques instants auparavant.
Je sentis également les pinces placées mes testicules, probablement pour me rappeler qui décide et quand…Les claques continuaient à pleuvoir sur l’intérieur de mes cuisses, mon visage et mon sexe qui devenait, lui aussi, très sensible. Je commençais à percevoir mes limites.
Mes gesticulations sous les coups me rappelaient ce sexe bien présent dans mon anus.
Puis Madame décida de m’infliger de nouveaux sévices en me pinçant sadiquement l’intérieur des cuisses et de l’aine. Tout en alternant rapidement la localisation des coups et des pincements, je sentais de plus en plus le combat perdu. Il le fut lorsque les larmes se mirent à couler de mes yeux. Je suppliais Madame de me laisser reprendre mes esprits mais il me fut ordonné de lui demander, accompagné d’un « s’il vous plaît », de bien vouloir continuer.
J’étais alors totalement vaincu. Mon corps ne m’appartenait plus.
Je ressentais alors un plaisir bien réel que seul ce niveau d’intensité procure. Chaque tremblement de mon corps me faisait ressentir tour à tour, la douleur des pinces sur mes seins et mes testicules, celle de mon sexe giflé à maintes reprises et toujours ce gros godemichet enfoncé jusqu’à la garde dans mon anus.Ce n’est finalement que quelques instants après que Madame me permit de reposer ma tête sur sa poitrine accueillante.
Je pensais que les punitions étaient alors terminées lorsque Madame me réconfortait tout en caressant mon sexe délicatement. Quelle erreur…
Cela repartit de plus belle. Je suppliai Madame d’arrêter mais rien n’y faisait. Je pleurais, je ne pouvais plus retenir la salive qui coulait de ma bouche entravée par ce bâillon-boule. J’étais devenu une petite chose sans défense à la merci de Madame.
C’est alors, que malgré mon état j’entendis Madame me dire qu’elle allait me préparer pour mon premier fist.
Je ne l’avais jamais été auparavant et le redoutais quelque peu. Je fus libéré de mes liens et nous nous rendîmes dans une autre pièce où se trouvaient un lit ainsi qu’un sling de cuir rouge sur lequel je m’installai. (cf le sling rouge de Madame Célia)
Mes jambes furent relevées et écartées, découvrant et offrant totalement mon anus à Madame.
Le travail de dilatation commença à l’aide d’un gode ceinture que Madame avait enfilé. Progressivement, il fut échangé pour des tailles de plus en plus impressionnantes. Je sentais mon anus comprimé être forcé à s’ouvrir petit à petit. Madame devinait mon anxiété et introduisait les sex-toys avec une grande délicatesse. Je n’avais jamais été pénétré par si gros. (cf « The Hand » le fameux gode du Dr Johnson) Puis les va-et-vient commencèrent en faisant me balancer d’avant en arrière sur le sling.
Je sentais le sex-toy entrer et sortir de mon anus et l’excitation augmentait au fur et à mesure des coups de rein de Madame.
J’aimais ce traitement qui me faisait aussi ressentir de plus en plus chienne. Madame l’avait compris et me traitait de petite trainée en chaleur tout en me crachant dessus. Malgré le fait que je m’étais juré de résister au début de la séance, j’étais désormais la petite chienne qui en redemandait.
Puis Madame décida que j’étais probablement suffisamment dilaté pour commencer à tenter le premier fist.
Les sex-toys que j’avais reçus lui permirent de s’introduire relativement facilement. En insistant délicatement, je sentis sa main passer le dernier point de résistance de mon sphincter et s’introduire au plus profond de moi.
Je n’aurais jamais pensé qu’un premier fist puisse être aussi extatique.
J’avais l’impression d’être en apesanteur. La connexion avec Madame était d’une intensité extraordinaire. Pour encore mieux la sentir, je contractais mes muscles et arrivait à faire quelques va-et-vient sur son avant-bras. J’aurais voulu que ce moment dure une éternité tellement il était délicieux.
C’est alors que Madame saisit mon sexe toujours dur et humide pour le caresser.
Madame demanda de lui donner ma semence qui ne tarda pas à venir tant mon excitation était grande. L’orgasme qui s’en suivit fut d’une force jamais ressentie jusque-là. Avant de retirer sa main de mes fesses, Madame attendit quelques instants que les spasmes de mon corps se calment. Je fus recouvert d’une serviette et nous échangeâmes ouvertement sur nos sensations respectives.
Madame, je tenais encore à vous remercier, mais les mots ne seront jamais assez forts, pour la fantastique expérience que vous m’avez fait vivre. Je ne pensais pas qu’atteindre une telle intensité, un tel lâcher prise et un tel sentiment d’appartenance et de soumission à une maîtresse était possible. Avec mes respects les plus sincères.
P. (devenu Léa sans retenue)