Vacances BDSM chez Tante Célia
Ça y est, je saute le pas, j’envoie ma demande à Maîtresse Celia ! Il me faut lui expliquer ce que j’attends de notre première séance : recréer l’atmosphère de vacances passées lorsque j’avais onze ans en Bretagne avec deux cousines et un cousin chez une tante, à une époque où les fessées étaient monnaie courante et le martinet présent dans la majorité des familles. Et ma tante n’était pas la dernière à en user.
Maîtresse Célia me répondit très vite et une correspondance suivit, brève, courtoise, pleine de tact. Très vite le courant passa je me rendis compte avec délice que Maîtresse Célia rentrait très vite dans la peau du personnage qu’elle allait devoir jouer. Je lui envoyais alors un canevas de scénario intégrant mes désirs mais qui laissait tout de même une large place à son imagination que je devinais féconde. Le tout fut complété par le questionnaire en ligne demandé par ma future Maîtresse. Rendez-vous fut pris pour une séance de deux heures, le vendredi suivant à quatorze heures.
J’y pense et y repense sans arrêt. Je me passe et me repasse le film de la séance, et suis assailli par une foule de questions : À quoi ressemblera-t-elle ? Comment sera-t-elle habillée ? Et son donjon ? Et ses instruments ? Serai-je à la hauteur ? Me sachant quelque peu douillet, supporterai-je les punitions, les châtiments et autres traitements ? J’avoue que certains témoignages sur le site me font un peu peur tout en me fascinant.
Voilà qu’un SMS m’intime l’ordre de porter une culotte de femme jusqu’à notre rencontre (dans la mesure où je peux le faire sans risque précise-t-elle).
Mais problème, je n’en ai pas… Allons, prenons une grande inspiration et allons en faire l’achat ! Dans le magasin, évidemment, j’étais le seul homme au rayon lingerie féminine. J’avais l’impression que des dizaines de paires d’yeux me fixaient. Finalement, je réalisais « l’exploit » et, de retour à la maison, me dépêchais d’enfiler mon trophée… Étrange sensation.
Jour de la séance, treize heures.
Mais que ce métro est lent ! Depuis ce matin, je suis littéralement dans un état second… finalement, ma petite culotte blanche s’avère plutôt confortable, et m’excite même beaucoup. Ça y est, me voici dans l’ascenseur, la gorge nouée, le cœur battant. J’arrive dans un couloir, une porte s’ouvre, je m’en approche. Saut dans le vide. Une dame élégante, en jupe droite et chemisier m’invite à entrer. La voix est douce et ferme. Un coup d’œil rapide dans le couloir me fait remarquer un classique martinet accroché à la patère, sur le mur. Je lui tends les deux martinets et le paddle de cuir que j’ai apportés. En experte, elle les examine et les commente, puis va les placer sur un petit meuble.
Le scénario débute alors. Je remets à ma Maîtresse une enveloppe contenant l’offrande. Selon le scénario prévu avec elle, il manque un billet. Elle joue très bien l’étonnement et me questionne sur cette tentative de supercherie. Et comme je lui mens effrontément, le ton se durcit et elle m’intime l’ordre de vider mes poches. Le pot aux roses est découvert : le billet manquant s’y trouve !
« Tu vas t’en souvenir, dit-elle d’un ton glacial, va prendre une douche et rejoins-moi dans le salon ! » Le ton est sec, sévère juste comme il faut, avec un soupçon de bienveillance. Le personnage est parfait.
Alors la magie opère. Toutes mes angoisses sont envolées, j’ai maintenant onze ans, et la seule crainte qui m’habite est celle de la correction qui s’annonce.
Je prends une douche rapide puis me dirige dans le salon, mais retourne illico dans la salle de bains, m’étant mal séché. Deuxième retour, simplement vêtu de ma petite culotte, penaud, le regard baissé. J’observe ma Maîtresse et la trouve superbe. Elle tient en main une badine menaçante. Coup d’œil circulaire dans le salon : un mur avec des chaînes, des colliers, des menottes, un martinet magnifique mais qui me semble redoutable, une cravache et plein d’accessoires de cuir, de latex, certains connus d’autres non, et des coffres qui semblent contenir plein de surprises.
« Tu comprends bien que tu dois être puni, et sévèrement pour ce que tu as fait, me dit elle. Tu vas donc recevoir tout d’abord une bonne fessée, et je continuerai avec le martinet. Tout mouvement de révolte ou de désobéissance aggravera évidemment ta punition. Tu m’as bien comprise ? Le ton était donné. J’étais un peu apeuré, mais aussi follement excité,
— Oui, Maîtresse, j’ai compris »
Elle s’assied alors sur un tabouret, et m’allonge sur ses genoux, non sans avoir baissé ma culotte. Une longue fessée s’ensuit alors. Puis les choses s’enchaînent : pendant que je suis au coin, mains sur la tête, Maîtresse revient avec un petit plug. Rapidement des mains expertes préparent la cible et le plug est doucement mis en place. Sensation nouvelle pour moi, délicieuse initiation. Mes poignets et chevilles sont maintenant garnis de colliers, je suis attaché au mur et les martinets vont entrer dans la danse. Je suis un peu anxieux… Évidemment je dois compter les coups et suis averti que toute erreur sera sanctionnée.
Le premier martinet est plutôt inoffensif, je suis un peu soulagé. Mais je déchante vite car le second se révèle bien plus cinglant.
Une erreur de comptage et c’est le retour à la case départ. Je gémis un peu mais supporte plutôt bien. Une douce chaleur commence à m’envahir. Le troisième martinet est, lui, bien plus mordant. Il enveloppe les fesses et cingle vraiment. Je serre les dents, crispe mon fessier et supporte stoïquement, non sans laisser échapper quelques petits cris. Je constate alors que Maîtresse Celia est une experte qui dose savamment ses coups en fonction de mes réactions. La douleur va crescendo mais est toujours contrôlée et supportable ? Bref, le juste niveau pour un « tour de chauffe ».
Je suis partagé entre douleur et excitation. Parfois, je me risque à une erreur, immédiatement sanctionnée par une augmentation du nombre de coups, cela va sans dire. Mes plaintes et supplications sont évidemment ignorées et les commentaires de Maîtresse Célia vont bon train. Elle est à fond dans le personnage et en ce qui me concerne, c’est la même chose ! Après une bonne soixantaine de coups, mes fesses sont maintenant bien chaudes et doivent avoir une jolie couleur. La correctrice conclut cette première partie par une volée de coups de paddle de cuir qui rendent mon postérieur écarlate.
Maîtresse décide alors de passer à autre chose. Elle écarte doucement mes fesses et retire le plug, délicieux.
« Direction la salle de bains, et vite ! »
Aucune autre explication. Bon, me dis-je, peut-être une autre douche. Vu la température de mon fessier, elle ne peut être que bienvenue. Une fois dans la douche, Maîtresse me fait allonger sur le dos, en position « diaper » et m’intime l’ordre de ne pas bouger. J’obéis sans rechigner. Que va-t-il se passer ? Quelques bruits me parviennent aux oreilles mais rien d’identifiable. C’est alors que je vois Maîtresse Célia s’approcher avec en main un dispositif complet de lavement. Je considère l’objet avec intérêt, principalement la canule qui m’a l’air d’être de taille raisonnable. Vu le plug que je viens d’avoir, cela ne devrait pas trop mal se passer.
Introduction douce et profonde, une sensation pas désagréable du tout, loin de là.
Puis le réservoir se vide en moi et je me remplis doucement. Le récipient vidé, il est rechargé et vidé de nouveau. Cette fois, cela devient un peu moins facile à garder. Je demande si je peux me soulager, mais je ne suis autorisé qu’à attendre. Heureusement pas trop longtemps. Je suis autorisé à mettre fin au supplice et la délivrance ne tarde pas trop à venir. Me voici propre à l’intérieur autant qu’à l’extérieur.
« File dans la chambre maintenant et vite »
Quelques bonnes claques sur les fesses au passage et me voilà dans une nouvelle pièce, face à un lit bien spécial. Il est surmonté d’une structure métallique permettant d’être attaché dans à peu près toutes les positions. Me voici bientôt allongé sur le dos, bras et jambes bien écartés, fixés en hauteur aux quatre coins du lit. Je suis laissé seul, pour une petite sieste forcée. Je demande pour combien de temps, mais, étant jugé peut-être trop bavard, je me retrouve avec ma culotte enfoncée dans la bouche. Tentant un peu de confort, j’essaie de bien la replacer avec mes lèvres. Malheureusement, je ne fais que la ressortir, la porte s’ouvre et je vois ma Maîtresse apparaître brusquement, qui réalise que je lui ai désobéi !
Elle disparaît et revint avec en mains une sorte de bâillon en caoutchouc qu’elle enfonce dans ma bouche et un martinet très court avec lequel elle me cingle les cuisses sans merci. Je tente bien de crier mais en vain… damné bâillon ! La fouaillée s’arrête enfin et Maîtresse Célia grimpe sur le lit. Retroussant sa jupe, elle vient m’enfourcher, approchant ses cuisses de ma bouche bâillonnée.
Dans un élan de gourmandise, j’essaie d’approcher mes lèvres de sa culotte, non sans admirer au passage ses bas, une jarretelle, et la peau blanche de ses cuisses.
Elle s’approche encore. J’essaie d’atteindre cette terre promise, mais, solidement attaché, je ne peux qu’onduler, sans espoir d’atteindre son sexe. Commence alors une danse cruelle. Maîtresse Célia ne m’autorise en fait qu’un contact entre mon bâillon et le haut de son entrejambe, et ceci à travers sa culotte… le supplice de Tantale ! Peu à peu nos ondulations s’accordent, deviennent frénétiques et mon sexe est en pleine érection ! Désir et frustration se mélangent furieusement. Je ne saurais dire combien de temps cela dura.
Puis Maîtresse Célia repart, non sans m’avoir mis une couche ! Quelle imagination ! Quelle humiliation !
S’ensuit une petite sieste bénéfique de quelques minutes qui me permet de recouvrer quelque peu mes esprits. J’imagine qu’il en est de même pour ma Maîtresse. La séance peut alors se poursuivre. Je suis détaché, libéré de ma couche, et nous voilà de retour dans le salon.
« On m’a dit que tu étais joueur. Eh bien, réjouis-toi, nous allons jouer à un jeu tous les deux. Un jeu très amusant et un peu spécial. Tiens, aide-moi un peu à installer le matériel. »
Nous installons une sorte de table basse sur laquelle je dois grimper et me mettre à quatre pattes, la croupe bien tendue. Je n’en mène pas large.
« La règle du jeu est simple. Tu tires une carte : si c’est du carreau tu reçois des coups de martinet, de cravache, de badines, de ceinture, … je choisis ; si c’est du trèfle, je te pince ; le pique, tu seras piqué ; le cœur te vaudra autant de caresses qu’indiquées sur la carte.
La hauteur de la carte détermine le nombre de coups, de pincements, de caresses. Par exemple : un neuf de trèfle vaut neuf pincements, un valet de carreau onze coups de martinet, etc. Tu comprends ? — Je ne comprends que trop ! Diabolique et follement excitant ! — Au total tu tireras dix cartes »
Les quatre premières cartes sont des carreaux et me font goûter du martinet, de la cravache, de la main et du paddle de cuir. Je commence à avoir un doute qu’il y ait une autre couleur que le carreau, mais la cinquième est un huit de pique. Enfin un peu de changement ! Je déchante aussitôt sous la piqûre d’une roulette sur mes fesses endolories, terrible ! Et puis vient le quatre de trèfle, des pincements sur mes fesses, mes tétons, mes testicules que je supporte sans trop me plaindre. Et maintenant la dame de carreau ! N’y a-t-il donc pas de cœur dans ce jeu ? Douze coups de martinet plus tard, je suis enfin exaucé : le six de cœur me vaut un doux moment caressant. Le tirage se termine par un pique et un trèfle. Je suis presque déçu que le jeu se termine car je commençais à y prendre goût et j’aurais bien tiré encore quelques cartes.
« Bon assez joué, passons maintenant à des choses plus sérieuses. Ne crois pas que j’ai oublié que tu as essayé de me dérober une partie de l’offrande. Nous allons maintenant régler cette affaire… »
Cette fois, fini de rire, l’ambiance devient vraiment punitive.
Je dois me mettre sur la table basse, prosterné, mon fessier bien présenté et tendu comme un arc. La fin de séance s’annonce sévère. J’entends Maîtresse m’annoncer d’une voix neutre cinq séries de dix coups sévèrement appliqués avec cinq instruments différents. Je dois assurer le compte de la punition et suis averti que chaque erreur me vaudra un retour à zéro. Il en sera de même si j’abandonne la position.
La première série me donne rapidement le ton de cette fin de séance : le splendide martinet repéré au début entre en lice, il est magnifique mais redoutable, il enveloppe bien les fesses et cingle cruellement. La douleur est réelle, à chaque coup une onde me remonte tout le dos. Sans hésiter, je provoque un retour à zéro en me trompant dans le décompte. Puis ce sont dix coups de cravache qui m’arrachent quelques cris. Viennent ensuite dix autres coups d’un paddle de bois, qui n’a rien à envier aux instruments précédents. Et de nouveau du martinet, moins cruel à priori que le précédent, mais la force avec laquelle ces dix coups sont appliqués fait aller crescendo la cuisson de mon postérieur. L’impression est inouïe, et une erreur (encore une !) me vaut le doublement de cette séance. Je perds pied !
Le final est à la hauteur : Maîtresse prend alors un fouet d’un mètre environ et me cingle la croupe.
Je ne peux m’empêcher de crier, mais je ne bouge pas, tendant toujours mon fessier du mieux que je peux. Inexorablement le fouet retombe neuf fois avec force sur mes fesses qui ne font rien pour lui échapper. Grandiose ! Je termine fourbu mais heureux. Je remercie ma Maîtresse. La séance s’achève autour d’un café. S’engage alors un dialogue riche et chaleureux qui m’apaise peu à peu. Nous parlons instruments, expériences… Je redescends peu à peu de mon petit nuage. Le chemin du retour fut délicieux : une foule d’images me revenaient à l’esprit sans arrêt. Et une délicieuse douleur m’a accompagné toute la soirée.
Vivement la prochaine séance !
Cet article a 2 commentaires
Benoit
J aurai aimer avoir la même chose
J en ai jamais recu
Si on fait échange sa me ferai très plaisir avoir mes fesse rouge pour une première fois de ma vie
Maitresse Celia a le délice de donner au scénario le splendide supplice de sa créativité…