il na faut pas battre en retraite pour aller au devant de ses plaisirs, 62 ans n’est il pas l’age légale pour vivre libre? Bravo Francis…
« Merci Maîtresse Célia pour cette délicieuse séance avec les marques que je voulais. Sachez que j’ai passé un très bon moment, chaud et intense… ».
Ma première fois de novice en BDSM
Par un bel après-midi d’avril, Francis décide d’assouvir un vieux fantasme enfoui dans les profondeurs de Sa conscience. Voici son témoignage suite à cette première expérience « chaude et intense »
Mon fantasme se résume ainsi : être attaché nu, fessé très fort et fouetté, à la merci de Maîtresse Célia et apprendre le BDSM.
Étant novice, je ne connais rien aux codes et usages du BDSM. Après quelques hésitations, j’envoie un mail à Maîtresse Célia en lui demandant si je peux la rencontrer afin de recevoir une très grosse fessée qui laisse des marques.
« Débutant mais j’aime les grosses fessées depuis toujours. J’aimerais essayer. J’ai 62 ans et jusque-là c’était un fantasme. Est-ce possible demain vers 14 h ? Si oui c’est ok pour une séance très dure, pas de « SafeWord », les fesses très marquées même plusieurs jours. Comment dois-je faire ? Merci de votre réponse, Francis.
Je ne m’y attendais pas mais sa réponse ne tarde pas.
« Bonjour Francis,
Je suis Maîtresse Célia. Il se trouve que je pourrai vous recevoir demain à 14 h aux conditions suivantes (suivent les conditions de réservation d’une séance avec elle). Si ces conditions vous conviennent vous pouvez me recontacter pour fixer le rendez-vous, Ms Celia »
Je réalise qu’elle me propose une séance dès le lendemain en début d’après-midi ! Je fais le nécessaire immédiatement pour confirmer le rendez-vous.
Une fois la réservation effectuée, je commence à cogiter. Ayant eu des expériences dans le privé de fessées beaucoup trop douces à mon goût, je crains qu’elle n’y aille pas assez fort. Je lui envoie un autre message.
« Est-ce que ma demande est réalisable ? Si oui c’est quoi pour vous une fessée très dure ? Je n’ai pas peur c’est juste pour me préparer. Pour les instruments j’aime le martinet, le paddle et plus si vous le souhaitez. Vous faites ? »
Elle répond tout de suite, coupant court à la discussion tout en me rassurant :
« Oui je fais tout ça bien sûr, comme l’indique mon site je pense 😉 Nous prendrons le temps nécessaire quand nous nous verrons, avant de démarrer la séance, pour échanger un peu si vous avez des questions. Bonne soirée et à demain. »
Il ne me reste plus qu’à attendre le lendemain.
J’entre dans le monde de Maîtresse Célia
L’heure de la découverte approche. Je dois me rendre au métro Hoche, et après quelques minutes de marche, me voilà devant la porte d’entrée d’un immeuble. Je prends l’ascenseur et me retrouve dans l’antre de Maîtresse Célia. Accueil très chaleureux, elle me demande si tout va bien et plante son regard dans le mien. Maîtresse me demande de retirer mes chaussures et d’un ton très rassurant me dit « Tu sais tu vas très vite être nu ». Pour montrer ma bonne volonté je me mets nu sans discuter, ce qui satisfait Maîtresse.
Elle avait préparé avec soin sur son ordinateur un récapitulatif sur la base de mes demandes. Nous échangeons cinq minutes pour bien confirmer mes kinks, mes limites et remettre de l’ordre dans cette « liste des possibles ». Une étape très utile car dans l’excitation de ma première présentation j’avais poussé certains curseurs un peu trop loin !
Maîtresse me demande ensuite de prendre une douche. Après m’être soigneusement lavé je me présente à la porte de la salle de bain. Elle vient me chercher en me saisissant par le sexe pour me tirer jusque dans la pièce principale où trônent chaînes, fouets, martinets, paddle et autres éléments suggestifs.
Ma Première fessée BDSM
Elle me coiffe alors d’une cagoule de tissu noir élastique et enserre des bracelets de cuir autour de mes poignets et chevilles. Mon cœur bat la chamade, je ne sais pas quand ça va démarrer mais la tension augmente d’un seul coup.
Après une période de caresse explorant tout mon corps, Maîtresse me dit de m’installer en travers de ses genoux. Je m’exécute et c’est un déluge de claques à main gantée de cuir et de paddles qui s’abat soudain sur mes fesses. Mon rêve devient à cet instant réalité.
Je dois ensuite me placer à quatre pattes sur des coussins face à un grand miroir, ce qui me permet d’admirer la scène ! Maîtresse assène ses coups sur mes fesses offertes. Maîtresse appuie ses claques de plus en plus fortement puis utilise des paddles. Mes fesses montent en température ! J’avais dit que je voulais des marques sur toute la zone de mes fesses, je suis servi !
Le mur des flagellations
Après m’avoir attaché les bras à de grosses chaînes tombant de chaque côté du mur et les jambes à chaque extrémité d’une forte barre d’acier, l’heure du martinet et du fouet est arrivée. Entre chaque série de coups, Maîtresse s’approche doucement de mon visage pour s’enquérir régulièrement de mon état. Elle veut à tout moment savoir où j’en suis, physiquement et dans ma tête. Elle annonce des coups plus forts, je hoche la tête pour consentir car je suis bâillonné. Après une trentaine de coups de martinet bien appliqués elle passe au fouet que je n’ai jamais pratiqué. Et un ! et deux ! et trois… Je ne sais pas combien de coups elle applique pour cette initiation, mais je ressens un plaisir profond et intense. Fouet et martinet se succèdent. Maîtresse continue à frapper très fort mes fesses devenues écarlates. Elle les prend en photo pour me montrer leur état. Je tends mon fessier pour mieux accueillir les coups et lui indiquer que tout va bien. Aussi loin que je veux aller elle va.
Délicieux final
Maîtresse me détache et m’emmène sur grand lit de fer à baldaquin. Je suis allongé, les yeux bandés et la bouche muselée, mes jambes attachées en hauteur aux montants du lit, offrant le spectacle de mes cuisses bien blanches, parfaitement dégagées et prêtes à recevoir les coups. Petit fouet de caoutchouc, paddle et martinet cinglent durement le haut de mes cuisses et le bas mes fesses. Toutes ces parties plus tendres qui jusque-là avaient été épargnées et étaient restées sans trace reçoivent leur traitement. Après ce final délicieux, Maîtresse m’annonce la fin de la séance et me propose un café.
Un dernier coup de cravache pour la route
Nous prenons le café en discutant de choses et d’autres. Au moment de prendre congé, je présente une dernière requête : je lui demande si elle veut bien pour terminer m’asséner un coup de cravache très fort. Elle accepte et au lieu d’un seul m’en donne quatre, comme pour avoir le dernier mot ! Je remercie une dernière fois Maîtresse et repars heureux d’avoir vécu ce moment inoubliable.
« Merci Maîtresse Célia pour cette délicieuse séance avec les marques que je voulais. Sachez que j’ai passé un très bon moment, chaud et intense. J’ai adoré vos coups très forts. À bientôt pour découvrir la cravache, la badine, la baguette, et autres »
Ma première fois de novice en BDSM
Pour ma première fois de novice en BDSM, Mon fantasme se résume ainsi : être attaché nu, fessé très fort et fouetté, à la merci de Maîtresse Célia et apprendre le BDSM.
Étant novice, je ne connais rien aux codes et usages du BDSM. Après quelques hésitations, j’envoie un mail à Maîtresse Célia en lui demandant si je peux la rencontrer afin de recevoir une très grosse fessée qui laisse des marques.
« Débutant mais j’aime les grosses fessées depuis toujours. J’aimerais essayer. J’ai 62 ans et jusque-là c’était un fantasme. Est-ce possible demain vers 14 h ? Si oui c’est ok pour une séance très dure, pas de « SafeWord », les fesses très marquées même plusieurs jours. Comment dois-je faire ? Merci de votre réponse, Francis.
Je ne m’y attendais pas mais sa réponse ne tarde pas.
« Bonjour Francis,
Je suis Maîtresse Célia. Il se trouve que je pourrai vous recevoir demain à 14 h aux conditions suivantes (suivent les conditions de réservation d’une séance avec elle). Si ces conditions vous conviennent vous pouvez me recontacter pour fixer le rendez-vous, Ms Celia »
Je réalise qu’elle me propose une séance dès le lendemain en début d’après-midi ! Je fais le nécessaire immédiatement pour confirmer le rendez-vous. Une fois la réservation effectuée, je commence à cogiter. Ayant eu des expériences dans le privé de fessées beaucoup trop douces à mon goût, je crains qu’elle n’y aille pas assez fort. Je lui envoie un autre message.
« Est-ce que ma demande est réalisable ? Si oui c’est quoi pour vous une fessée très dure ? Je n’ai pas peur c’est juste pour me préparer. Pour les instruments j’aime le martinet, le paddle et plus si vous le souhaitez. Vous faites ? »
Elle répond tout de suite, coupant court à la discussion tout en me rassurant :
« Oui je fais tout ça bien sûr, comme l’indique mon site je pense 😉 Nous prendrons le temps nécessaire quand nous nous verrons, avant de démarrer la séance, pour échanger un peu si vous avez des questions. Bonne soirée et à demain. »
Il ne me reste plus qu’à attendre le lendemain.
J’entre dans le monde de Maîtresse Célia
L’heure de la découverte approche. Je dois me rendre au métro Hoche, et après quelques minutes de marche, me voilà devant la porte d’entrée d’un immeuble. Je prends l’ascenseur et me retrouve dans l’antre de Maîtresse Célia. Accueil très chaleureux, elle me demande si tout va bien et plante son regard dans le mien. Maîtresse me demande de retirer mes chaussures et d’un ton très rassurant me dit « Tu sais tu vas très vite être nu ». Pour montrer ma bonne volonté je me mets nu sans discuter, ce qui satisfait Maîtresse.
Elle avait préparé avec soin sur son ordinateur un récapitulatif sur la base de mes demandes. Nous échangeons cinq minutes pour bien confirmer mes kinks, mes limites et remettre de l’ordre dans cette « liste des possibles ». Une étape très utile car dans l’excitation de ma première présentation j’avais poussé certains curseurs un peu trop loin !
Maîtresse me demande ensuite de prendre une douche. Après m’être soigneusement lavé je me présente à la porte de la salle de bain. Elle vient me chercher en me saisissant par le sexe pour me tirer jusque dans la pièce principale où trônent chaînes, fouets, martinets, paddle et autres éléments suggestifs.
Ma Première fessée BDSM
Elle me coiffe alors d’une cagoule de tissu noir élastique et enserre des bracelets de cuir autour de mes poignets et chevilles. Mon cœur bat la chamade, je ne sais pas quand ça va démarrer mais la tension augmente d’un seul coup.
Après une période de caresse explorant tout mon corps, Maîtresse me dit de m’installer en travers de ses genoux. Je m’exécute et c’est un déluge de claques à main gantée de cuir et de paddles qui s’abat soudain sur mes fesses. Mon rêve devient à cet instant réalité.
Je dois ensuite me placer à quatre pattes sur des coussins face à un grand miroir, ce qui me permet d’admirer la scène ! Maîtresse assène ses coups sur mes fesses offertes. Maîtresse appuie ses claques de plus en plus fortement puis utilise des paddles. Mes fesses montent en température ! J’avais dit que je voulais des marques sur toute la zone de mes fesses, je suis servi !
Le mur des flagellations
Après m’avoir attaché les bras à de grosses chaînes tombant de chaque côté du mur et les jambes à chaque extrémité d’une forte barre d’acier, l’heure du martinet et du fouet est arrivée. Entre chaque série de coups, Maîtresse s’approche doucement de mon visage pour s’enquérir régulièrement de mon état. Elle veut à tout moment savoir où j’en suis, physiquement et dans ma tête. Elle annonce des coups plus forts, je hoche la tête pour consentir car je suis bâillonné. Après une trentaine de coups de martinet bien appliqués elle passe au fouet que je n’ai jamais pratiqué. Et un ! et deux ! et trois… Je ne sais pas combien de coups elle applique pour cette initiation, mais je ressens un plaisir profond et intense. Fouet et martinet se succèdent. Maîtresse continue à frapper très fort mes fesses devenues écarlates. Elle les prend en photo pour me montrer leur état. Je tends mon fessier pour mieux accueillir les coups et lui indiquer que tout va bien. Aussi loin que je veux aller elle va.
Délicieux final
Maîtresse me détache et m’emmène sur grand lit de fer à baldaquin. Je suis allongé, les yeux bandés et la bouche muselée, mes jambes attachées en hauteur aux montants du lit, offrant le spectacle de mes cuisses bien blanches, parfaitement dégagées et prêtes à recevoir les coups. Petit fouet de caoutchouc, paddle et martinet cinglent durement le haut de mes cuisses et le bas mes fesses. Toutes ces parties plus tendres qui jusque-là avaient été épargnées et étaient restées sans trace reçoivent leur traitement. Après ce final délicieux, Maîtresse m’annonce la fin de la séance et me propose un café.
Un dernier coup de cravache pour la route
Nous prenons le café en discutant de choses et d’autres. Au moment de prendre congé, je présente une dernière requête : je lui demande si elle veut bien pour terminer m’asséner un coup de cravache très fort. Elle accepte et au lieu d’un seul m’en donne quatre, comme pour avoir le dernier mot ! Je remercie une dernière fois Maîtresse et repars heureux d’avoir vécu ce moment inoubliable.
« Merci Maîtresse Célia pour cette délicieuse séance avec les marques que je voulais. Sachez que j’ai passé un très bon moment, chaud et intense. J’ai adoré vos coups très forts. À bientôt pour découvrir la cravache, la badine, la baguette, et autres »
Cet article a 2 commentaires
-
-
Olivier 29 mai 2023
Très intéressant
Cet article a 2 commentaires
il na faut pas battre en retraite pour aller au devant de ses plaisirs, 62 ans n’est il pas l’age légale pour vivre libre? Bravo Francis…
Très intéressant