il y a des jours ou le corps ne s’autorise pas de souffrir alors que notre tête le voudrait tant…
« Je ne serai jamais une vraie sissy si je ne fais pas plus d’effort ! ».
Devenir une bonne sissy est un long chemin !
Souvenir d’une séance d’apprentissage d’une sissy soubrette sous la conduite vigilante et bienveillante de Maîtresse Célia qui ne punit jamais sans raison
L’heure du départ pour le second rendez-vous chez Maîtresse Célia approche. Je me prépare. J’ai envie de lui faire une surprise : j’enfile de la lingerie en satin rose et des bas assortis sous mes vêtements. Tout au long du trajet, je me demande qu’elle sera la réaction de Maîtresse.
A mon arrivée, elle m’accueille chaleureusement comme à son habitude. Elle découvre avec surprise ma tenue. Elle parait satisfaite de mon implication. Tout ça ne fait pas encore une bonne sissy. Selon le même rituel, je complète ma tenue de soubrette avec une jolie robe et une cagoule.
Maîtresse tourne autour de moi et m’applique mon collier. Ses mains courent sur mon dos. Soudain, une première fessée s’abat suivie d’une série plus appuyée. Maîtresse rit à la vue de mes fesses rougies en quelques secondes. Sissy est sensible aujourd’hui.
Allons à la salle de bains, il est temps d’accomplir mon travail. Je nettoie la douche attentivement sous la conduite et les ordres de ma Maîtresse. Elle semble satisfaite. Un deuxième échec après les fessées aurait été très humiliant.
J’ai alors le droit de choisir un supplice dans le grand livre imagé. Mes yeux s’arrêtent sur un soumis attaché et dont les tétons sont étirés par des cordes avec des poids. Trop tard pour changer d’avis … me voici à genoux devant la croix. Je suis immédiatement attaché par les mains et par le cou, deux pinces prennent place sur ma poitrine dénudée. Des poids viennent tirer un peu et puis rapidement de plus en plus fort. La douleur est intense. Décidément je ne supporte rien au cours de cette séance : Maîtresse se moque.
Et bien si c’est ça ! Je n’ai qu’à préparer le café sous les remarques humiliantes de ma Maîtresse. Je ne serai jamais une vraie sissy si je ne fais pas plus d’effort. Maîtresse continue à se moquer tout en dégustant son café posé sur un plateau placé en équilibre sur mon dos, attention à ne rien renverser !
Maîtresse saisit une corde et m’enserre le sexe. Là encore je n’endure rien. Je craque. C’est sûr ! Maitresse est déçue. Je ne suis vraiment bon qu’à faire le ménage. Alors elle me fait ranger. La prochaine fois, je le sais déjà, il m’en cuira encore plus.
Devenir une bonne sissy est un long chemin !
Souvenir d’une séance d’apprentissage d’une sissy soubrette sous la conduite vigilante et bienveillante de Maîtresse Célia qui ne punit jamais sans raison
L’heure du départ pour le second rendez-vous chez Maîtresse Célia approche. Je me prépare. J’ai envie de lui faire une surprise : j’enfile de la lingerie en satin rose et des bas assortis sous mes vêtements. Tout au long du trajet, je me demande qu’elle sera la réaction de Maîtresse.
A mon arrivée, elle m’accueille chaleureusement comme à son habitude.
Elle découvre avec surprise ma tenue. Elle parait satisfaite de mon implication. Tout ça ne fait pas encore une bonne sissy. Selon le même rituel, je complète ma tenue de soubrette avec une jolie robe et une cagoule.
Maîtresse tourne autour de moi et m’applique mon collier. Ses mains courent sur mon dos. Soudain, une première fessée s’abat suivie d’une série plus appuyée. Maîtresse rit à la vue de mes fesses rougies en quelques secondes. Sissy est sensible aujourd’hui.
Allons à la salle de bains, il est temps d’accomplir mon travail.
Je nettoie la douche attentivement sous la conduite et les ordres de ma Maîtresse. Elle semble satisfaite. Un deuxième échec après les fessées aurait été très humiliant.
J’ai alors le droit de choisir un supplice dans le grand livre imagé.
Mes yeux s’arrêtent sur un soumis attaché et dont les tétons sont étirés par des cordes avec des poids. Trop tard pour changer d’avis … me voici à genoux devant la croix. Je suis immédiatement attaché par les mains et par le cou, deux pinces prennent place sur ma poitrine dénudée. Des poids viennent tirer un peu et puis rapidement de plus en plus fort. La douleur est intense. Décidément je ne supporte rien au cours de cette séance : Maîtresse se moque.
Et bien si c’est ça !
Je n’ai qu’à préparer le café sous les remarques humiliantes de ma Maîtresse.
Je ne serai jamais une vraie sissy si je ne fais pas plus d’effort. Maîtresse continue à se moquer tout en dégustant son café posé sur un plateau placé en équilibre sur mon dos, attention à ne rien renverser !
Maîtresse saisit une corde et m’enserre le sexe. Là encore je n’endure rien. Je craque. C’est sûr ! Maitresse est déçue. Je ne suis vraiment bon qu’à faire le ménage. Alors elle me fait ranger. La prochaine fois, je le sais déjà, il m’en cuira encore plus.
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il y a des jours ou le corps ne s’autorise pas de souffrir alors que notre tête le voudrait tant…