
« Ma première bite. L’humiliation est totale. J’entends les rires de Maîtresse… J’avais perdu mes couilles pour de bon ! »
Humiliation BDSM totale
Transformée en Fée Clochette, Pierre suce sa première bite et se fait prendre sous les rires de Maîtresse Célia. Il réalise l’un de ses plus anciens fantasmes entre de très bonnes mains.
Maîtresse Célia,
Jeune soumis parisien, raffiné, dressé, respectueux et sans tabous, je suis tombé sous le charme de votre profil et je serais honoré de vous rencontrer. Je serais très curieux d’essayer le « forced bi », que je trouve particulièrement humiliant.
J’ai eu beaucoup d’expériences mais jamais avec un autre homme, étant parfaitement hétérosexuel.
Ce qui me plaît, c’est la perspective du sentiment d’humiliation extrême si je dois sucer le sexe et me faire prendre par un homme devant une femme qui se moquerait de moi. Je trouve ça terriblement castrateur.
Par ailleurs, l’idée de porter des sous-vêtements féminins, une perruque pendant que je le fais, décuplerait probablement la honte.
Je me tiens humblement à votre disposition.
***
À mon arrivée devant la porte de Maîtresse Celia, il va sans dire que mon cœur tape très fort. Je sais à quelle sauce je vais être mangé. Première surprise, lorsque la porte s’ouvre, la voix qui m’invite à entrer dans l’appartement n’est pas celle de Maîtresse mais une voix mâle, la voix grave de son assistant. Je le découvre grand et dénudé, portant un masque sur les yeux et un slip en cuir mettant en évidence une anatomie impressionnante. Il m’ordonne de me mettre nu et les choses commencent très vite.
Maîtresse Célia me trouve trop masculine. Pas assez féminine pour exciter Monsieur. Je tremble intérieurement. Après m’avoir passé menottes aux poignets et aux chevilles, Maîtresse décide de m’apprendre à marcher comme la pute** que je mérite d’être. Talons aux pieds, elle me fait me dandiner dans le couloir en tordant du cul, comme une sissy. Ma maladresse est assez ridicule et pitoyable.
Maîtresse me fait ensuite baisser mon caleçon pour constater que je ne suis « pas très membré ». Malgré mon impuissance évidente, elle juge bon de me faire porter une cage de chasteté, afin de me rappeler l’inutilité de mon membre. Ce jour-là, la seule bite qui mérite d’être considérée est celle de mon bourreau.
Elle attache une clochette à mes testicules, qui me vaut immédiatement le surnom de Fée Clochette.
Elle m’enfile cagoule et perruque sur ma tête, la tâche qui m’incombe peut enfin commencer. Maîtresse me fait agenouiller devant Monsieur qui baisse la fermeture éclair de son boxer, découvrant son sexe énorme, bien plus large que le mien.
Pendant trente bonnes minutes, il m’oblige à le sucer. Ma première bite. L’humiliation est totale. Pendant ce temps, Maîtresse décide de préparer mon cul de chienne afin que Monsieur puisse ensuite me prendre. Mon cul bien élargi, il se place derrière moi et commence à me déflorer. La honte. Il me baise ainsi pendant dix bonnes minutes avant de me retourner et de me prendre sur le dos. J’entends les rires de Maîtresse… J’avais perdu mes couilles pour de bon !




Mon humiliation achevée, Maîtresse libère enfin mon sexe et me conduit jusqu’à la salle de bain. Là, elle me demande de sucer à nouveau Monsieur et de me branler en même temps. Je jouis très vite, en sentant ce sexe si gros dans ma bouche en comparaison au mien, si petit dans ma main.
Je quitte l’appartement avec un sentiment d’apaisement total et en ayant réalisé l’un de mes plus anciens fantasmes entre de très bonnes mains.
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** Note de Maîtresse Célia : Je tolère l’emploi du mot « pute » uniquement dans le cadre d’une séance d’humiliation BDSM. Les Travailleuses du sexe méritent le respect.
Cet article a 2 commentaires
Que votre séance devait être merveilleuse, j’ai eu la chance d’être entre les mains de Maîtresse Célia une fois déjà.
Pour ma part,le meilleur témoignage que j’ai pu voir sur votre site. La chance qu’il a eu de vivre cette expérience avec vous Maitresse Célia.Il s’en souviendra à jamais.Vivre la même chose doit être incroyable.